Ce récit bien écrit et bien romancé m'a fait penser au très beau et très émouvant film de Clint Eastwood : " sur la route de Madison". On peut dire qu'il y a des similitudes entre votre roman et ce film. Je n'en suis qu'au début mais pour l'instant vous avez réussi à retenir mon attention et vous m'avez donné l'envie d'avoir envie comme dirait Johnny mais surtout l'envie d'en savoir plus. Je voudrais savoir qui est Icare et quel lien il avait avec la maman décédée de ses 3 enfants adultes.

J'ai eu de la peine pour le pauvre enfant malheureux qui vit des beaux moments de solitude en France ou au Gabon. En plus on peut pas dire qu'il puisse retrouver du vrai réconfort auprès de son père.... Sinon j'ai trouvé l'écriture bien agréable à lire notamment pour décrire la beauté des paysages et des lieux au Gabon. Chose importante qu'il est nécessaire de rappeler est qu'il faut bien connaître l'histoire de son pays notamment pour mieux expliquer son actualité et son futur.

J'ai trouvé l'histoire charmante et mignonne et bien joliment écrite, j'ai eu même le sentiment de lire du Flaubert ou du Maupassant car les descriptions des sentiments humains, des paysages étaient à la fois précises et harmonieuses. Puis vous mettez à l'honneur des personnages aristocratiques de qualité assez élégants qui se transmettent des moeurs, des coutumes et des métiers de génération en génération. Tout cela a une certaine gueule...

J'avoue que j'ai pris plaisir à vous lire car l'histoire m'a plu et m'a rappelé des séries comme Robinson Crusoé ou des livres qu'ont écrit ce cher aventurier et écrivain Sylvain Tesson. les scènes se passent dans une montagne au milieu de nulle part au contact de la nature et des animaux, le cadre est agréable et plaisant. Puis j'ai toujours été interpellé par la vie de certains ermites qui au fond n'ont pas besoin d'autres êtres humains pour vivre. Avec votre personnage principal, j'ai été servi. Dans votre histoire, ce que j'ai aimé c'est qu'il y a pas mal d'interrogations existentielles sur la vie : le caractère éphémère de celle-ci, le fait qu'un homme a besoin d'apprendre à se défendre dès le plus jeune âge, l'entraide aux autres qui peut dans certaines situations se retourner contre nous même. Il y a aussi la maladie, le virus qui peut créer beaucoup de mortalité, la dureté de la vie, etc...

J’ai été assez captivé par le début de l’enquête, ce qui est bon signe. Je n’en suis qu’au début. Vous écrivez bien, l’intrigue est à la fois attirante, le profil des protagonistes intéressant surtout celui du meurtrier. Il est toujours assez fascinant de constater à quel point un être humain peut tromper son monde en manipulant ses proches. Les forces du mal sont parfois sans limite. Cette histoire m’a fait penser à l’affaire Daval avec le mari Jonathan Daval qui a assassiné sa femme Alexia Daval. Pendant plusieurs mois celui-ci a caché à sa belle famille la vérité en jouant un double jeu et en mentant. La belle famille était également convaincue que leur gendre n’était pas coupable et l’a défendu avant que celui-ci passe aux aveux. Cette affaire présente quelques similitudes avec la vôtre.