PAS DE VIE SANS AMOUR

Bonjour @Maud de Fayard,
Je vous remercie pour votre commentaire.
Je suis vraiment contente d'être lue, et d'avoir des retours, ils sont si précieux...
Il est vrai que certains poèmes restent dans la retenue. D'autres sont plus charnels et passionnels comme EXTASE, dont voici un extrait : " Esclave de mes sens, dès lors, je t'appartiens.". D'autres sont effectivement moins libérés : j'ai voulu exprimer l'amour sous toutes ses formes. Il peut être platonique, à sens unique, hésitant, imaginaire, dans l'attente de l'être aimé absent, non consommé mais présent, et les mots s'adaptent aux ressentis de ces amours naissants, timorés, voire manquants que l'ont peut connaître à certains moments de sa vie à certains âges, chez certaines personnes aussi, et pas chez d'autres... J'ai tenu à exprimer à travers mes poèmes plusieurs nuances de l'amour tel un camaïeu, c'est un sujet sans limites...

Bonjour @D-G-M Roualland

Je vous remercie pour votre commentaire et je suis ravie que ce texte vous plaise. J'ai voulu exprimer ce qui arrive malheureusement quand un être ne se sent pas aimer. Action tragique, fatale, irréversible surtout quand cet être en fait était aimé... C'est vrai qu'il est un peu triste mais l'amour peut être joie, aussi le désert d'amour nuit considérablement à l'âme...

@Loreleï Loreleï J’aime beaucoup le sujet que vous abordez, je peux écouter des musiques, des livres d’amour pratiquement sans m’arrêter. Je trouve génial de voir dans vos vers tout les facettes de l’amour, les sentiments, la passion, l’amour qui naît ou s’en vas, bon ou vil.. Vous pourriez rajoutez de la passion, de la fouge , vos vers pourraient être fabuleux. Peut être vous retenez vous ? Osez. Colorez de sentiments, de geste, de voix. Baladez leur amour en forêt, effleurez les feuillages, évitez les piquants, saisir la mousse, la sentir, rouler à travers l’herbe et bondir. Voler dans les nuage , rejoindre les villes, en choisir une, flâner , entre les boutiques, envie , imaginer, toucher ces matières, porte-monnaie qui laisse couler qu’une pièces, tapant pis, il rejoigne les rues, fier, traverse les avenue, ou gêné frôle les murs, dans les lieus secrets, se réfugié d’un besoin , d’une tension qui monte. Impossible à comprendre, cette sensation qui demande, écoutez, rejetez, malgré tout là saisir. Retenez leurs crie de joie quand ils ne peuvent pas , qu’ils se maîtrisent mais ne peuvent pas résister. Je sens vos personnages tout coincé, laissez -les courir, fuir où ils ont envie , qu’ils parlent compliqué ou simple , murmure ou rugisse de sauvagerie. Méchant ou bon , timide ou pédant, mélancolique ou hystérique, insupportable ou touchant, ils palabrent la joie. Avec excès , leurs torrents d’amour ruissellement ou cliquetique brillant , ils remplissent les cœur de ceux qui ont besoin et vivifient d’une journée toute grisâtre.