Aelig et Bleuenn se sont fait la promesse d’habiter Himmelstadt un jour. Maintenant que leur rêve est accompli, l’ingénieur et la policière mènent une vie tranquille chacun de leur côté. Trop tranquille. Aelig finit par s’ennuyer et se met à s’introduire dans les simulations virtuelles où ses concitoyens se plongent chaque soir. Mais voilà qu’une escapade tourne mal et qu’il tue un homme par accident. Le jeune homme récidive, le meurtre devenant une manière de combattre sa lassitude et d’extérioriser ses souffrances. Mais ses activités ont fini par attirer l’attention de la brigade criminelle, commandée par Jedrek Wolfram, le meilleur policier que Himmelstadt ait connu, et supérieur hiérarchique de Bleuenn.
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Une nouvelle version corrigée de l’œuvre est mise en ligne. J'ai également ajouté un lien vers Amazon si vous jugez que mon projet le mérite. Je laisse le texte intégral ici tant qu'Amazon ne viendra pas me chercher des noises. Dans le cas contraire, j'écrirai un commentaire et laisserai un extrait.
@P. Sevran Bonjour. Merci pour votre commentaire et votre note. De ce que j'en retire, mon début est un peu faible mais le reste vous a plu. C'est une opinion qui rejoins un peu celle de Gaspard du Gévaudan. Suite aux avis que j'ai reçus ici et ailleurs, j'ai remanié le début et aéré le texte par endroits. Encore merci pour votre critique !
@Gaspard du Gévaudan Bonjour. Tout d’abord, un grand merci d'avoir tenu jusqu'au bout ! Et merci pour vos critiques (positives / négatives) ! Pour ce qui est des descriptions, d'autres personnes autour de moi me disent qu'il n'y en a pas assez. Chacun lit selon sa propre grille et il est difficile de contenter tout le monde. Je pense que votre déconvenue vient du fait que le livre est classé "Suspence - Policier". Pour moi, il y a des éléments de SF (donc un minimum de description d'univers), de philo et de policier bien sûr mais le muti-genre n'étant pas possible (ou alors je ne l'ai pas vu), j'ai dû choisir ce qui me semblait le plus alléchant pour des lecteurs potentiels (choix que j'assume entièrement).
Eloigner le lecteur de l'action est également voulu au sein de la brigade policière, envisagée comme un groupe (et donc une vue d'ensemble). Pour Aelig, l'introspection règne. J'ai essayé de faire progresser le récit par l'action sans laisser de temps morts. Peut-être n'ai-je pas réussi, tout le monde est faillible.
En tout cas, je vous remercie de poster votre avis et vous souhaite une bonne continuation !
PS: Pour ce qui est de l'imagination, je n'ai fais qu'extrapoler ce dont la science est déjà capable aujourd'hui (et c'est d'autant plus effrayant d'ailleurs !). Science sans conscience n'est que ruine de l'âme comme qui dit Rabelais !
Belle imagination ! Et belles références aux classiques du genre. Mais aussi un peu trop convenu parfois. Comme si vous aviez besoin de prouver l’univers dans lequel vous avez inscrit votre récit. Pour moi, ça pourrait être moins descriptif, ça pourrait aller plus vite, qu’on sente l’action, qu’on en fasse parti, plutôt que d’être spectateur extérieur à la scène. Encore une fois, bravo l’imagination