monBestLibraire, l'alternative à l'auto-éditionmonBestLibraire.com apporte une alternative aux plateformes historiques
Les grandes plateformes laissent peu de chances à votre livre d’émerger dans le flux des bestsellers. Ces plateformes fonctionnent sur des algorithmes de classements, de notoriété, de volume de ventes. Les chances pour un auteur auto-édité d’apparaître en haut des résultats de recherche sont infimes face à ces auteurs établis.
Avec monBestLibraire, votre livre ne sera pas noyé dans l’océan des plateformes généralistes aux côtés de livres portés par les plus grandes maisons d’édition… et leurs budgets marketing. Il bénéficiera de tout le flux du lectorat monBestSeller, une communauté d’échanges et de débats.
monBestLibraire.com partage à équité les revenus de la vente des livres avec l’auteur
Le modèle est simple et transparent : l’auteur touche 50 % des ventes nettes, l’éditeur également.
Chaque exemplaire vendu rapporte en moyenne à l’auteur 3 €, soit le double de la moyenne constatée en édition traditionnelle.
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En quelques étapes élémentaires, l’auteur soumet son livre et bénéficie de toutes les étapes éditoriales :
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Notre ambition : donner au plus grand nombre la possibilité d’accéder à l’édition en la rendant simple et accessible.
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Moi, ce qui me chagrine dans cette affaire — oui, chagrine, le mot n’est pas trop fort — c’est d'imaginer mes chefs-d’œuvre littéraires devoir côtoyer, sur monbestlibraire.com, des œuvres signées Jean Neymar, Justine Crémieux ou Gaston Chambard. Des noms dont même Google se méfie. Des auteurs si obscurs qu’on les soupçonnerait d’être des pseudonymes inventés par des IA en burn-out.
Alors qu’avant, sur Amazon, ma prose trônait fièrement entre deux mastodontes de la littérature contemporaine : Guillaume Musso, Marc Levy... et même Nabilla ! Un voisinage de prestige ! Il y avait là, osons le dire, un effet miroir : un peu de leur gloire dégoulinait sur moi (« ruisselait », aurait dit Mélenchon), comme un fond de sauce sur une assiette vide. Ne venez pas me dire que ce n’est qu’illusion : mes illusions sont solides, en béton armé, et je compte bien y camper jusqu’à l’Académie.
Et maintenant, voilà qu’on nous promet un « site papier » — l’ironie de l’expression ne vous échappe pas — où seuls les élus du Panthéon mbsien seront publiés. Résultat : ils ne laisseront sur le site gratuit que des miettes, des bribes, des copeaux, un soupir de paragraphe. MBS va-t-il devenir un genre de refuge pour textes sans-abris ? Une SPA de la prose ? Le site des recalés de monbestlibraire, où l’on croisera des chapitres orphelins, des nouvelles esseulées, et des poèmes qui font la manche ?
Vous me direz : « Le Salon des Refusés a donné les impressionnistes ! » Peut-être, en effet. Mais en attendant, existe-t-il un Monet chez MBS, au seulement des croûtes numérisées, fautes d’orthographe incluses ? J'attends donc prudemment avant de sortir ma palette.
Finalement je me demande ce que je vais gagner de plus qu'ici, à part avancer de l'argent que je risque de ne jamais retrouver ?
Bonjour @Yiannis. Les comptes sont clairs. Pour un ouvrage de moins de 100 pages, les éditions 50/50 vous demandent 399€. Vous recevez 20 livres que vous pouvez vendre 13€ pièce. Combien vous coûte la prise en charge de votre manuscrit ainsi que sa mise en vitrine ?
140€.
A combien estimez-vous votre temps ? Et combien d'heures de temps de travail personnel aurez-vous économisées ?
Je pense que @Phillechat 2 sait aussi bien calculer que nous.
La question qu'il se pose sans doute est : "Est-ce que mBL va me permettre de vendre des centaines, voire des milliers de livres ?"
Car tout est là, ou en tout cas, beaucoup de choses sont là : les auteurs fonctionnent majoritairement sur les deux présupposés suivants :
1. La valeur de leur écrit se compte en lectures, ou clics, ou likes, ou nombre de commentaires, ou que sais-je encore. (Valeur = Quantité de)
2. On écrit un livre pour le vendre et, ainsi, devenir riche et célèbre.
On ne peut rien contre de pareils présupposés.
Mais peut-être que je me trompe, que la méfiance de Phillechat 2 est nourrie par d'autres doutes. Lui seul pourrait nous le dire.
@Catarina Viti
@Phillechat 2
Le prix est honnête, y a qu’à comparer avec la concurrence. Pour les mêmes services, Librinova n’est pas loin du millier d’Euros.
Le sieur Phillechat est peut-être méfiant parce que pour retrouver ses billes faut quand même en vendre pas mal des bouquins?
L'atout de mbl : la visibilité par le lectorat de mbs.
Le hic : le prix !
J'ai eu beaucoup de mal à franchir l'étape de payer pour faire éditer mon livre. C'est fait grâce à mbl. Nous verrons si l'opération est concluante. Même si, honnêtement, je ne pense pas vendre suffisant de livres pour regagner ma mise. Qu'importe ! L'important est d'écrire.
Longue vie à mbl !
Et merci à mbs pour la visibilité apportée à l'écrivain amateur que je suis !
Bonjour @Phillechat 2.
Méfiant, c'est intéressant... Vous pourriez développer ?
Bon, sur le papier c'est intéressant, mais je suis désolé, je reste méfiant : ai-je tort ?
Je lis sur le site dédié : "Votre livre a été retenu par les Editions 50/50 qui vous proposent d’éditer votre livre"... et me permets de rebondir sur ce point crucial, qui différenciera peut-être monBestLibraire.com des autres nombreux sites proposant, moyennant paiement (justifié par diverses prestations, bien sûr), l'édition de leur écrits aux autoédités : un tri qualitatif plus que souhaitable, car il lui permettrait de se distinguer des autres plateformes en ligne. Un pari certes moins juteux dans un premier temps mais assurément plus payant sur le long terme.
Merci pour cette initiative en tout cas.
Amicalement,
Michèle
Cette innovation me paraît bien intéressante ! Visiblement, ça a phosphoré dans les services marketing et les équipes de mBS. Qui s'en plaindrait !
Et merci, comme dirait Cortex.
Hé oui, on est tous un peu perchés ! Mais c'est justement ça qui est beau, non ? :-D
@Catarina Viti : oui fous ! de la bonne folie, douce, celle qui fait du bien :)
Ils sont fous, chez mBL !