Les vacances d’été approchent et la période est propice à la lecture. Entre deux sessions de yoga sur paddle-board :
— Et si, je vous emmenais à Tahiti ?
Accrochez-vous, il y a toujours un risque de turbulences...
J'ai découvert le monde, des auteurs, l'auto édition, l'édition, assez récemment.
Après avoir fait lire quelques nouvelles à des amis, ils m'ont incité à publier. Une fois publié, les lecteurs ont eu l'air d'apprécier.
— Des nouvelles, c'est trop court. On en veut plus.
Sensible à ce lectorat naissant, je me suis lancé dans un premier ouvrage. Une belle aventure entre la nouvelle et le roman.
C'est ainsi que j'ai découvert l'auto édition par le biais du blog de Frédéric Clémentz et du site monBestSeller.com.
Avec ce premier roman disponible sur Amazon, depuis janvier 2016 en numérique et version papier, j’ai pu apprécier le programme KDP qui propose de belles promotions.
J’ai aussi rapidement appris que vivre de sa plume est un bien long chemin plein d'espoir pour la majorité des jeunes auteurs. Sauf si on a la chance d'être contacté par un grand éditeur -étant acteur ou sportif connu- pour narrer "Jean De Lafontaine" ou proposer des enquêtes policières sur fond de patinoires.
En croisant sur mon île le respectable marin d'expérience à la verve bien trempée, chroniqueur célèbre et écrivain renommé de surcroît :
— Alors, j'ai un sujet de roman. Comment s'enrichir avec ses écrits ?
J'osais poser la question. Le sage, remettant gentiment à sa place le doux rêveur, déclarait :
— Ah ! Il n'y a pas que l'argent dans la vie !
C'est ainsi que, plein d'espoir, je découvrais par la suite, que l'enrichissement de l'auteur était beaucoup plus personnel.
En me livrant sur monBestSeller.com, j'ai pu apprécier les partages qui m’ont fait grandir, en tant qu’auteur en herbe, avec cette communauté de lecteurs et d'auteurs assidus et impliqués.
Cependant, on ne peut diffuser avec le programme KDP, un large extrait sous peine d’en être exclu.
Après quelques échanges avec les lecteurs et notre éminente Elisabeth, responsable et de bon conseil sur le site, l’extrait que je proposais s’avérait frustrant puisque trop court.
Après quatre vingt dix jours révolus, j’ai donc fait le choix d’adhérer à la politique du partage du site monBestSeller.com et livrer mon petit roman dans son intégralité au sympathique lectorat.
On retrouve depuis déjà quelques mois, L'innocence d'un enfant dans les dix succès du mois.
C'est une formidable surprise.
A priori, seul ouvrage dans le top 10 d'ailleurs proposé dans son intégralité.
La chance d'avoir pu, échanger, découvrir d'autres auteurs est le plus beau des enrichissements.
C'est pourquoi, j'offre de bonne grâce mon livre sur le site. C'est vrai que j'apprécie toujours une petite contribution financière sur Amazon. C'est toujours un bel encouragement qui me pousse à continuer sur la voie de ce bouillonnement d'énergie positive que représente l'écriture.
Et vous, êtes-vous plutôt "extrait" ou "roman intégral" ?
Vous avez écrit un livre : un roman, un essai, des poèmes… Il traine dans un tiroir.
Publiez-le sans frais, partagez-le, faites le lire et profitez des avis et des commentaires de lecteurs objectifs…
Bonjour Julien et merci pour cette tribune. Les nombreux commentaires sont également intéressants et pertinents :-)
Je pense qu'on est nombreux à se poser cette question : extrait ou intégrale ?
De mon côté, j'ai été intégrale presque dès le début. Initialement, j'avais dépose 10/25 chapitres pour "prendre la température". Dès le premier commentaire, j'ai eu des remords, jugeant qu'un retour aurait plus de valeur sur la totalité que sur une partie. Je voyais aussi cela comme une question de respect envers les lecteurs, et j'ai déposé le livre complet.
Ces derniers viennent lire et commenter ; autant leur proposer l'écrit entier. Cela évite (ou limite) la frustration de ne pas avoir la fin et permet un commentaire plus pertinent car portant sur l'ensemble avec une vision totale.
Le seul moment où j'ai remis mon livre en extrait a été lors de la réécriture, et l'extrait grandissait au fur et à mesure de mon avancée dans le travail de réécriture, jusqu'à être de nouveau disponible intégralement.
Je rejoins Philippe S. dans son raisonnement, puisque que j'en suis arrivé au même choix.
Quand j'ai commencé à envisager de "vendre" mes écrits, je me suis demandé ce que j'allais faire de ce premier livre. Extrait ? Intégrale ? Si extrait, combien de chapitres, etc.
Finalement, comme il s'agit dans mon cas d'un cycle en 7 livres, j'ai décidé de laisser le premier livre en version intégrale gratuite sur monBestSeller, d'envisager de faire de même sur d'autres lieux numériques où cela est possible, et de proposer en parallèle un livre papier que pourront acheter ceux qui ont aimé lire ce livre et veulent se le procurer.
Tout cela est encore en cours, mais je me dirige là-dessus. Un premier livre gratuit en numérique mais payant en papier, et les suivants payants en numérique et papier.
Ainsi, libre à chacun de se faire une opinion et de poursuivre l'aventure si le début a plu.
Certains diront que le choix est peut-être plus facile à faire pour une saga. Je répondrais que la démarche est la même pour un livre qui se suffit à lui-même, du moment qu'on a d'autres écrits à proposer.
Et là je rejoins encore @Philippe S. : il faut "produire", écrire et encore écrire.
Je rebondis aussi sur un de vos commentaires, @Julien Rigottier Gois, concernant la diffusion. L'une des plus grosses difficultés pour un auteur en herbe, qui plus est indépendant (mais pas que), c'est très clairement la visibilité et la diffusion. Comment toucher un public ? C'est extrêmement compliqué, incertain, et les outils le permettant sont quasi inexistants, à moins de bénéficier de toute l'artillerie d'une grande maison. Mais combien en bénéficient, ne serait-ce que dans les auteurs édités dans des grandes maisons ? Je pense que la liste se réduit à peau de chagrin. Tout outil qui permet d'aller dans ce sens est à étudier avec attention, car c'est bien là le nerf de la guerre, si j'ose dire, si l'on veut être lu (et à fortiori vendre, mais être lu ce serait déjà pas mal^^).
Je suis donc très clairement roman intégral. D'ailleurs, je lis de moins en moins d'extraits moi-même, surtout les extraits extrêmement courts.
Bonnes lectures et écriture à tous :-)
@lamish, c'est au milieu de rien que je trouve aussi l'essentiel de ma sérénité. Qu'il doit faire bon vivre sous vos oliviers. :-)
Merci @yanis TAIEB, votre intervention est touchante et fait preuve d'une belle expérience de la créativité.
L'envie de partager est la source de toute démarche artistique, partager ses émotions, ses impressions, ses pensées, ses espoirs, ses rêves, partager de sa vie, ces moments de trêves où l'on arrache à l'instant son fil éphémère, où l'on peut défier le temps, le temps d'un instant...
Ce sens du partage qui anime, par définition, tout artiste, ne doit cependant pas occulter le fait, que créer prend du temps, promouvoir ses œuvres encore plus, et qu' à moins d'être rentier, de ne pas avoir besoin de gagner sa vie, ou de reléguer son art au second plan, celui qui crée ne saurait diffuser gratuitement l'intégralité de ses œuvres, sans se retrouver dans l'obligation de faire l'aumône,pour subvenir à ses besoins primaires et ceux de sa famille.
Alors permettre l'accès gratuit à l'intégralité de ses écrits, de ses créations musicales, ses photographies...oui pourquoi pas mais encore faut il se trouver dans un des cas que je viens de citer.
Au delà de cette évidence, je constate que dans nos sociétés, c'est notamment le cas en France, on a tendance à oublier de rémunérer la plupart des créateurs artistiques considérant que retirant du plaisir de l'acte de création, il n'ont pas besoin de manger, de se loger, de partir en vacances ou d'offrir un cadeau de noël à leurs enfants. Ce faisant, on décourage même les plus entêtés et au fil du temps, il ne restera plus que les rebelles, les rêveurs de l'infini et ceux qui se prendront en charge, qui s'auto-publieront, s'auto-produiront...
L'industrie du livre n'échappera probablement pas au sort que subit l'industrie de la musique, aujourd'hui sur le point de disparaître si elle ne remet pas en cause son fonctionnement, en se concentrant sur quelques têtes d'affiche, et en ignorant tout le reste de la création.
En attendant, vive l'auto édition, l'auto production...et saluons ceux qui comme BOOOKEY, Monbestseller... innovent pour fournir aux auteurs le maximum d'outils performants pour rencontrer leur public et vivre de leurs créations.
PS: En ce qui concerne Edilivre (et consors), j'en ai fait la triste expérience et je peux vous dire: "essayez si vous avez du temps et même de l'argent à perdre".
@lamish 20/20 pour être intervenu, rien n'arrive par hasard et nous sommes nombreux à vouloir le meilleur et peu à faire le premier pas.
La rencontre avec @Jesse Jay et sa vision, moins frenchy's risque de changer la donne dans le monde de l'édition et des auteurs indépendants. Ailleurs qu'en France, il est possible de vivre de ses écrits sans être bestsellarisé par quelques éditeurs de la place. J'ose espérer que tous les auteurs français ne se considèrent pas comme Baudelaire, Proust, Stendhal ou un de nos amis critique de renom. Se raconter des histoires et les partager, est aussi important que de poser quelques mots savants dans une phrase trop travaillé. Le grand public est à la recherche de création, de nouveaux talents qui sortent des sentiers battus mais aussi je pense d'authenticité, de simplicité, d'accessibilité. Et pourquoi, la lecture de loisir ne serait-elle pas elle aussi made in France et distribuée à l'étranger. J'aime croire en la bonté de la nature humaine et dans certaines philosophies de vie, ou voie d'apprentissage, le maître reçoit autant, voir plus que l'élève en le guidant. Difficile de changer la vision des autres, mais je peux essayer de prendre un chemin nouveau ou détourné pour changer , ma vision de l'auteur, qui reste à attendre qu'un Editeur daigne lui envoyer un énième refus. Être auteur, aujourd'hui est une véritable petite entreprise et un travail d'équipe. Il me semble avec les quelques mois de démarchage que j'ai pu faire. La diffusion en tant qu'auteur indépendant est juste impossible, les portes des grand médias sont verrouillés par les éditeurs en places. On trouve un lectorat minimum, effectivement mais pour pouvoir se vendre la diffusion est juste indispensable. Difficile, bien installé sous mes cocotiers, de démarcher les librairies, les supermarchés, les multiples salon du livre alors que la clientèle commande de plus en plus via le web. En cela j'apporte volontier mon soutien et est envie de croire dans l'entreprise de Jesse Jay comme la nouvelle voie manquante, d'une diffusion de masse pour auteurs indépendants.
J'espère aussi ne pas avoir trop monopolisé la tribune avec un hors sujet.
Merci encore pour vos interventions.
Bonjour @Lamish Une petite réponse appropriée à votre dernier post.
Je ne fais aucune promo ma chère et je n'ai rien à prouver... Car cela fait longtemps que ma promo se situe comme sur un long fleuve tranquille. Par ailleurs sur monbestseller ce ne serait pas le lieu adequat!
Je suis intervenu afin de partager avec des auteurs indépendants l'information concernant une innovation dont je suis effectivement à l'origine ...
Le BOOOKEY destiné à l'origine à la seule diffusion de mes ouvrages est désormais à la disposition des auteurs désirant développer leur qualité de vie avec un prix public de 12€ (78% de revenu).
Que peut on demander de mieux?
Vous ne trouverez rien de mercantile dans ma démarche d'autant plus lorsque vous lirez ce qui suit:
Que pensez vous des auteurs bénéficiant gratuitement de nos 8 BOOSTERS efficaces de vente de leurs ouvrages?
Que pensez vous de bénéficier d'une tournée de signatures- dédicaces dans un réseau national de librairies?
Que pensez vous d'une tournée dans les Alliances Françaises et Lycees Français de l'Etranger?
Que pensez vous du couplage RADIO FRANCE (France Bleue) interview P.Q.R.planifié par anticipation aux signatures librairies? JE ne vous parle pas de la PLV, des communiqués de Presse, l'attaché de presse et j'en passe....
Dans tout ceci vous n'y trouverez que ma propre passion pour la belle création et l'encouragement au developpement de celle ci lorsque je considère qu'à un certain moment de notre vie il est bon de pouvoir prodiguer à d'autres le meilleur de ce que nous avons reçu par le passé.
A cet effet, de surcroît, j'ai décidé en janvier dernier de créer un concours d'écriture dont le premier prix dans chaque catégorie recevra une bourse permettant à chaque auteur(e) Francophone d'être traduit en Anglais et en Espagnol avec promotion assurée sur ces deux marchés de prédilections que je considère comme majeurs.
Me permettrez vous d'en faire également l'annonce sur ce site ici même sans me taxer de mercantilisme?
Quand à Yanis TAIEB je n'ai pas eu à le convaincre... Consultez le en direct!
Ce fut au contraire une belle rencontre mutuelle...
J'ai tout simplement apprécié personnellement ses écrits, l'encourageant à continuer et désirant l'héberger gracieusement sur ma plate forme tous comme les tous prochains nouveaux venus afin de leur offrir une meilleure visibilité et des outils de communication performants.
Because Ras le bol d'entendre de nouveaux bons auteurs dire qu'il n'y a pas beaucoup de moyens de s'en sortir lorqu'ils débarquent dans cette profession.
J’espère vivement qu'aucun de mes écrits ne vous "chiffonnera" comme vous le disiez en préambule....
Sans rancune aucune... également.... Vous êtes la bienvenue!
Bien cordialement
Jesse
@FANNY DUMOND C'est très juste ce que vous dites. Je crois que ceux qui n'ont pas l'habitude de lire sur écran ne se rendent pas comptent que c'est très fatigant pour les yeux (surtout quand ceux-ci n'ont plus la vigueur de la jeunesse) Il y a une chose que j'ai notée : il est vraiment, vraiment, plus facile de lire un PDF qu'on a téléchargé, plutôt que lire avec l'outil qui est sur le site ; avec lui, on peut lire des textes pas trop longs, mais s'il faut s'attaquer à du 400 voire 600 pages avec, c'est presque mission impossible, du moins pour mamie Marguerite :-) ; ce qui est carrément dommage, parce que perso, je suis une fan de pavés bien lourds.
@Dany b ; je vous rejoins complètement sur cet avis, il faut considérer un extrait comme une 4e de couv. améliorée. Et puis mon Dieu, si le bouquin plaît, pourquoi ne pas l'acheter ? Franchement, au prix où les auteurs vendent leur travail, pour l'acheteur, ce n'est rien, et pour l'auteur, c'est un magnifique stimulant.
Amicalement, Marguerite
J'aimerais vous faire part d'autres réflexions qui me sont venues après mon premier commentaire. Elles débordent un tantinet du cadre mais, tant pis, je me lance. A mon avis, outre poser la question "extrait ou lecture intégrale" on pourrait évoquer le sujet suivant : j'ai des difficultés à lire sur écran (je vieillis qui l'eut crû ?) ; lorsque j'ouvre une lecture et que je vois apparaître un texte non mis en forme, posté comme ça à la va vite, long comme un jour sans pain, un amalgame de lettres sans interligne, sans saut de paragraphe eh bien je le zappe illico. Le travail de mise en page d'un texte est fastidieux mais je pense que c'est la moindre des corrections que de proposer à nos lecteurs un texte lisible. L'écriture c'est 5 % de plaisir et 95 % de travail.;-) Ensuite, lorsque je vois un titre ou un synopsis bourrés de fautes... c'est rédhibitoire. Ce qui est curieux, mais là je m’égare, c'est le nombre de lectures et le classement que certains de ces textes obtiennent. Merci @Jess Jay pour ses précieux conseils à ceux qui veulent aller plus loin dans l'aventure. Cordialement. Fanny la dilettante.
Salut @Julien
Vaste programme à envisager que de mettre ses ouvrages à la lecture gratuite ou n'en dispenser que des extraits. Tout dépend si l'auteur souhaite devenir un écrivain ou tout simplement vivre un simple hobby dont il souhaite partager la production avec tous les inconnus.
Donc que chacun réponde à cette question fondamentale. Et à dater de ce jour, il s'agit d'avoir le courage de s'afficher, d'annoncer la couleur en précisant bien aux lecteurs dans votre BIO ." JE suis ECRIVAIN ou AUTEURE..... ou bien HOBBISTE D'écriture.
Par conséquent c'est dés cette première intersection que le destin d'une auteure ou d'un écrivain se forge. Et ceci sur la base d'un travail assuré, d'une remise de l'ouvrage sur l'établi pour toute remise en question nécessaire, d'une bonne dose de détermination..... Et surtout en usant des meilleurs Boosters Marketing propres à assurer la diffusion d'un ouvrage.
Sans cela, cessons de laisser entendre aux auteurs débutants que leur ouvrage sera un jour un livre qui leur permettra d'en retirer de quoi s'offrir un copieux petit déjeuner au Ritz chaque matin.
C'est un leurre qui malheureusement porte au bout de quelques mois l'écrivain(e) au découragement voir au plus profond désespoir.
Quelque bon ouvrage qui soit tant dans l'originalité conceptuelle que dans la qualité d'écriture, de l'intrigue et de la psychologie des personnages restera sur la cheminée sans le moindre lecteur si cet ouvrage n'a pas été savamment "Marketé".
Je préfère préciser ce point de vue personnel à l'aune d'un long parcours dans l'édition après les nombreux courriers reçus ces trois derniers mois dans lesquels je perçois bien combien les auteurs indes qui démarrent avec un premier ouvrage, plein d'allant, semblent bien désarmés dans cet univers.
Je peux vous assurer que le meilleur moyen de dévaloriser votre écrit est de l'offrir gratuitement. Vous ne provoquez absolument plus le moindre intérêt.... Placer son ouvrage sur AMAZON dans quelque registre que ce soit.... Petit extrait ou gratuité de la totalité (KDP) correspond à tresser la corde pour se pendre. Vendre à 0.99 , 1.99 ou maxi 3.99 correspond à rejoindre l'insondable cimetière des dizaines de millions d'auteurs qui fut créé par le fossoyeur de la culture qu'est AMAZON.
Pour l’Écrivain (e) l'Auteur (e) deux solutions s'offrent:
1/ Envoyer son manuscrit à deux douzaines d'éditeurs ciblés (mais submergés) dont l'un devra s'engager sur la publication de l'ouvrage avec toute la batterie de promotion nécessaire
2/ Etre un véritable Auteur(e) indépendant qui oeuvre jour après jour pour diffuser son ouvrage au plus grand nombre en toute liberté sans étre attaché par AMAZON EDILIVRE et consort.... Tel que nous l'avons fait dans les années 80 lorsqu'il n'y avait pas tout cela.
Et pour ce faire, de nos jours en toute humilité il y a un tout nouvel outil High Tech qui révolutionne l'univers de l'auto Edition aux USA et qui est désormais disponible sur le marché Francophone dans quelques jours....
C'est le BOOOKEY voir www.Boookey.com
DOC en Français pour les non Anglophiles https://spark.adobe.com/page/4cJej/
En deux mots c'est la matérialisation du livre numérique qui change la donne tant pour les auteurs que pour les libraires. C'est la liberté des auteurs et la meilleure rentabilité copyright du marché.
Avec cela possibilité d'utiliser les 8 BOOSTERS de vente.... avec un revenu par ouvrage de 9.50€ par vente revenant à l'auteur.
C'est le principe que je recherchais tout simplement pour assurer la meilleure diffusion de ma dernière saga depuis 3 ans..... Ce jour on en offre les avantages à ceux et celles qui souhaitent acquérir une pleine indépendance d'auteur(e) et améliorer leur qualité de vie.
Pour les auteurs de l'Hexagone je dois préciser qu'outre atlantique nous n'avons aucune mauvaise conscience à parler d'argent et de rentabilité dans quelque profession que ce soit, alors qu'en France une certaine chape de plomb semble rendre cet aspect totalement tabou.
Un écrivain de nos jours, écrivant sans relâche doit être un des artisans contribuant largement au développement de la culture en gagnant parfaitement bien sa vie....
Voila.... En espérant que ces quelques lignes porteront certains à la réflexion qui s'impose lorsque sur les marches de la connaissance il s'agit de savoir décider pour soi... Suis un Ecrivain ou un Hobbyste d'écriture.
Au premier regard nous avons eu l'occasion au détour des pages de web de ce site de détecter, l'un de mes assistants ou moi même de véritables petites perles d'écriture qui méritent la plus grande attention
et en ce sens je ne saurais trop encourager les dits Auteurs (res) à renouveler en s’attelant à un second, voir à un troisième ouvrage dans le même jus.
Allez Julien ... Bien à toi.... Je passerai à Tahiti fin décembre début janvier....
Cordialement à tous ceux qui auront lu jusqu'ici.
Jesse
Email: jessejay@live.fr
www.JJ-Publisher.com
.
@Marguerite Rothe, @Dany b @Laurentlesax, merci de vos témoignages, une fois de plus grâce à @monBestSeller me voici grandi en cette belle journée, c'est mon anniversaire d'ailleurs :-)
Je retiendrais, que lire un extrait est comme feuilleter un livre avant de l'acheter, c'est génial, proposer un premier roman ou quelques nouvelles dans leur intégralité avec des liens respectera au mieux le lectorat, simple et efficace. Je m'en vais d'ailleurs découvrir quelques ouvrages de ceux que je ne connais pas encore. Je vous souhaite une belle journée et vous remercie de votre participation.
@lamish comme toujours vos commentaires touchent leur cible dans le mille, merci de guider mes pas, je me dois desormais de publier quelques nouvelles et d'oublié ma timidité.
@FANNY DUMOND, merci de votre commentaire, c'est vrai vivre de sa plume est utopique et nous sommes tous des rêveurs productifs, alors pourquoi pas. Je vous souhaites pleins de succès. @Les Eclosions Asynchrones Philippe, votre point de vue me paraît des plus intéressants et ecrire reste le plus important.
@Claude CARRON, merci de votre avis. J'ai eu la chance d'avoir un jour retenu l'attention d'Edilivre, un véritable pied à l'étrier et c'est comme cela que je me suis intéressé à l'édition, les comptes d'auteurs et l'auto édition. Leurs services sont intéressants et votre succès en est une belle promotion. Pour ma part, vu l'éloignement, géographique, les frais d'envois et l'achat des ouvrages étaient prohibitif et envisager la revente. J'ai récupèrer mes droits à la publication en laissant quelques droits sans regrets.
Comme l'a dit lamish, un roman de 300pages peut être dissuasif à lire sur son écran d'ordinateur... Le format "nouvelle" semble en effet le plus adapté pour gagner en audience. L'intégralité est tout de même préférable selon moi, à moins que l'on veuille tenir les lecteurs en haleine et les rediriger vers un achat en ligne... Mais bon, fait-on vraiment tout cela pour l'argent, en effet? Pour ce qui me concerne, j'ai mis une version papier sur Lulu.com et je suis très satisfait du résultat. Simple, bonne qualité et livraisons rapides.
J'ai lu attentivement cet article qui ne laisse pas indifférent, puisqu'il pose la question qui nous a tous ou presque traversé l'esprit. Pour un bon nombre d'entre nous ( du moins, je le suppose), l'idée est partie aussi vite qu'elle est venue. Je voulais juste rebondir sur la publication d'extraits sur le site, pour ma part, je trouve cela intéressant et n'hésite pas à aller les lire. Je vois cela comme un livre que je pourrais feuilleter dans une librairie. Finalement, les envies et les besoins sont différents en fonction de son "avancée" dans l'aventure de l'écriture ; c'est pour cette diversité d'offres que la plate-forme MBS est intéressante. Cordialement. Dany
Merci Julien pour cet article ; grâce à lui (à vous !), je me suis replongée dans les conditions d'adhésion à KDP Select... Définitivement réfractaire à la lecture de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un contrat, je réalise seulement aujourd'hui que je n'avais pas assimilé les subtilités qu'il y avait entre KDP et KDP Select et leur topo sur les 90 jours... Sinon, sincères félicitations pour votre succès ! Bien à vous, Marguerite.
Bonjour Julien. Votre tribune a retenu mon attention. Pour ma part, je ne clique plus sur les extraits car c'est trop frustrant et pour tout dire cette "pratique commerciale" me déplait. Ce n'est pas moi que le dis mais, quelque part sur monbestseller, il est mentionné que poster un extrait ôte beaucoup de chances d'être lus. Vivre de sa plume, à mon humble avis, relève de l'utopie (mais sait-on jamais). Seulement une cinquantaine d'écrivains français vivent décemment de leurs écrits et doivent produire au minimum un roman tous les ans ! J'écris en dilettante puis, un jour, j'ai découvert monbesteller et ma prose figée dans mes fichiers est lue. Pour moi, c'est le Graal. Depuis quelque temps, je suis lue par des "lecteurs-non auteurs" (sans aucun copinage, je tiens à la souligner) et cela vaut tout l'or du monde ! Je vous rejoins : partager avec d'autres auteurs ou simples lecteurs est un bel enrichissement personnel. Bonne continuation dans la belle aventure. Cordialement. Fanny
@ Julien RIGOTTIER GOIS :J'étais pour le premier choix (oeuvre intégrale), mais une fois édité, vous avez des éditeurs qui n'autorisent que la publication d'une vingtaine de pages en lecture gratuite. C'est le cas de mes deux polars : "on a tué la mère MICHEL' et "FLAMBERGE se rebiffe" publiés en version papier chez EDILIVRE.