Petit roman illustré qui raconte l'histoire d'un couple de mésanges, venu s'installer dans un petit bois.
L'accueil qui leur sera fait est pour le moins hostile. Qu'importe ils ne reculeront pas...
@federer36
Bonjour,
D’abord, merci pour la lecture et le commentaire. Gratifié d’une bonne note, j’en piafferai presque…
Qualifiée mon histoire de mignonne et ravissante, c’est pour sûr voler du côté des héros. Certes, j’en conviens, ce sont des drôles de volatiles, qui restent néanmoins familiers sans être exotiques. Tous les animaux qui apparaissent dans l’histoire, on peut les observer non pas dans la savane mais tout simplement sur le pourtour méditerranéen.
Et oui les oiseaux nichent pour pondre. Mais dans l’histoire ils restent on ne peut plus raisonnables : une seule couvée de cinq œufs pour la femelle qui peut compter jusqu’à deux sur la saison.
Je vous rejoins sur l’histoire quand vous dites qu’il faut se nourrir pour ne pas crever. Mais attention pour nos deux tourtereaux : la faim ne justifie pas tous les moyens ! Pour preuve, leur pugnacité pour un juste retour des droits de la nature pour tous.
Enfin, j’ai tenté de faire parler les animaux sans tomber j’espère dans la facilité. J’ai été inspiré par les belles histoires de la ferme des animaux de Georges Orwell, de Jonathan Livingstone le goéland de Richard Bach, de la mouette et le chat de luis Sepulveda, et surtout par l’incomparable style du grand Louis Pergaud dans ses superbes romans d’animaux.
Histoire mignonne et ravissante entre les animaux de la savane. Dis-donc ce sont des petits coquins, les animaux dans cette histoire, des petits fous fous, cela n’arrête pas de pondre…Ils ne perdent pas de temps. Après c’est crève ou marche. Il faut se nourrir pour ne pas crever…. Très bonne idée de faire parler les animaux!
Publié le 21 Juillet 2019
Gastounas
Biographie
Bonjour,
C'est moi nasnas ! J'ai pris un nouveau pseudo pour poster un nouveau texte.
Aussi pour en savoir plus sur mon profil, je vous...
Ce livre est noté par
@federer36
Bonjour,
D’abord, merci pour la lecture et le commentaire. Gratifié d’une bonne note, j’en piafferai presque…
Qualifiée mon histoire de mignonne et ravissante, c’est pour sûr voler du côté des héros. Certes, j’en conviens, ce sont des drôles de volatiles, qui restent néanmoins familiers sans être exotiques. Tous les animaux qui apparaissent dans l’histoire, on peut les observer non pas dans la savane mais tout simplement sur le pourtour méditerranéen.
Et oui les oiseaux nichent pour pondre. Mais dans l’histoire ils restent on ne peut plus raisonnables : une seule couvée de cinq œufs pour la femelle qui peut compter jusqu’à deux sur la saison.
Je vous rejoins sur l’histoire quand vous dites qu’il faut se nourrir pour ne pas crever. Mais attention pour nos deux tourtereaux : la faim ne justifie pas tous les moyens ! Pour preuve, leur pugnacité pour un juste retour des droits de la nature pour tous.
Enfin, j’ai tenté de faire parler les animaux sans tomber j’espère dans la facilité. J’ai été inspiré par les belles histoires de la ferme des animaux de Georges Orwell, de Jonathan Livingstone le goéland de Richard Bach, de la mouette et le chat de luis Sepulveda, et surtout par l’incomparable style du grand Louis Pergaud dans ses superbes romans d’animaux.