C’est une petite fraction de l’histoire du Liban méconnue ou oubliée !
Celle de la magnifique idée de Rafic Hariri qui a consisté, entre 1983/87, alors que la guerre perdurait dans le pays, à sauver une génération de jeunes gens aux têtes bien faites en leur proposant de les aider à faire ou poursuivre leurs études à l’étranger.
Dans un contexte politique tumultueux, Hariri fit une parenthèse dans ses activités et trouva l’énergie de créer une Fondation qui permit de financer contractuellement 26000 jeunes Libanais.
La subtilité et l’ouverture de l’homme politique fut de n’exclure aucune confession religieuse présente au Liban et aussi de ne pas choisir précisément un seul pays étranger, mais au contraire d’élargir l’expérience à la France, amie historique, mais aussi aux USA,
Ce livre est noté par
Attention, ce livre ne comporte aucun commentaire ni d'avis politique ni sur le passé, ni sur le présent. Ne pas faire d'amalgame entre les hommes et l'histoire.
C'est un livre historique et de témoignages sur un fragment de l'histoire libanaise pendant la guerre civile. Cet événement à encore daujourdh'ui de fortes répercutions au Liban et en France...
Attiré par le titre de ce livre, étant moi-même franco-libanais, je l'ai lu avec un réel plaisir et je le conseille à toute personne liée à ce pays ou aussi à celle curieuse de mieux le connaître.
Les parcours de vie de ces étudiants qui ont bénéficié de bourses d'études de la Fondation Hariri est passionnant.
D'autre part la description fine et assez claire de l'histoire de ce pays complexe mérite d'être signalée. L'auteur a su en faire une présentation très humaniste. Avec une grande ouverture d'esprit, il a su dépasser les conflits sans les nier, s'attardant surtout sur les liens humains positifs qui découlent de ce brassage de civilisations, entre la France et le Liban. Avec mes sincères félicitations à l'auteur.
F.G.
Passionnant ! Même si on n’est pas spécialement concerné, vous racontez un morceau de l’histoire. Je me rappelle très bien des attentats de 83. Et comme j’avais été marqué par l’interview du Général Américain qui disait sa fierté d’être à la tête d’hommes qui étaient prêts à mourir pour la liberté. La liberté, c’est le thème de votre témoignage je trouve. Bravo pour ce témoignage.