Les Chaussettes de l'Archiduchesse

202 pages de hazarak
Les Chaussettes de l'Archiduchesse hazarak
Synopsis

Alexandro Jodorowsky, la métagénéalogie, les rituels psychomagiques, vous connaissez ? Ajoutons un peu d'humour et embarquez dans cette quête existentielle déjantée où une guide conférencière spécialiste des siècles à dorures enquête sur son arbre généalogique : direction les Châteaux de la Loire. En chemin, elle récolte un super pouvoir : dialoguer avec les illustres portraiturés. Ce qui l'entraine encore plus loin : il ne s'agit plus seulement d'échapper aux répétitions familiales mais de répondre à la question : qui suis-je, si je ne suis plus celle que ma famille avait prévue ?

Publié le 22 Décembre 2020

Les statistiques du livre

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Ce livre est noté par

3 commentaires , 2 notes
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@Ortega, merci beaucoup pour ce commentaire positif, pertinent et qui ouvre sur un questionnement. Tout est dit ;-) Effectivement, ce roman est né d'une enquête ADN et généalogique que j'ai menée et dont les résultats (ADN vs généalogie) au final se sont contredits. De là m'est venue l'idée de transposer mon "chamboulement" identitaire dans un contexte familial et historique fictif. Et comme vous le soulignez bien, mon plus grand plaisir serait que ce roman engage quelques lecteurs-trices à creuser leurs propres légendes familiales, leur généalogie, test ADN à l'appui. C'est probablement la première raison de ce livre. Qu'on se le dise ;-)

Publié le 01 Mars 2021
5
J’ai bien aimé l’univers loufoque de ce roman qui explore plusieurs dimensions, l’évolution du personnage principal, bien sûr, qui se voit contrainte de repenser sa place dans la société, mais aussi l’intrigue policière dans le monde des arts et le petit tour dans le 19ème siècle de Georges Sand et de ses contemporains. Un roman riche et distrayant mais aussi une manière ludique de susciter une réflexion plus profonde sur nos constructions identitaires nourries par les histoires, et souvent légendes, familiales plus souvent qu’ancrées dans la réalité et que la découverte de notre patrimoine génétique risque de questionner sérieusement.
Publié le 27 Février 2021

@Paula Pons, merci pour votre lecture et pour votre appréciation. Je ne connais pas le film que vous citez La vie de château même si je connais le réalisateur, donc je vais m'empresser de le regarder. Le personnage principal de mon roman a quelque chose de pathétique au début, on peut la plaindre de se sentir déboussolée juste parqu'elle a potentiellement perdu sa particule. Votre avis m'intéresse (le manque de gaité) car la comédie qui est mon créneau en tant que scénariste se nourrit souvent d'histoires assez tristes au fond. c'est le point de vue qui fait en partie la comédie. Donc, encore merci pour cette référence et cette réflexion, et oui, je suis d'accord avec vous, le casting dans une comédie peut vraiment faire décoller une histoire. Bonne semaine à vous.

Publié le 04 Janvier 2021
4
Bien sûr, ça m’a fait penser à La vie de château de J P Rappeneau qui était si gai… et cela m’a fait regretté que votre récit n’ait pas cette même joie. Il y a de la légèreté, mais moins, comment dire ? moins naturelle, plus caricaturale des joies et des malheurs, des droits et devoirs, des chutes et rechutes de cette aristocratie là. Et sans doute, ce qui est virevoltant dans le film, aidé aussi par ce casting du tonnerre, est plus difficile à faire passer dans un roman j’imagine. Tout ça pour dire, bravo, bonne année, je me suis quand même bien divertie en vous lisant et vous souhaite d’autres histoires à raconter.
Publié le 31 Décembre 2020

@Emmanuelle Pesqué, merci d'avoir pris le temps de lire et merci pour votre appréciation positive. Oui votre remarque sur la présentation des dialogues, je suis consciente que ça demande un effort pour certaines personnes, et curieusement pas pour d'autres. je ne sais pas à quoi ça tient. J'ai fait ce choix en connaissance de cause, après avoir eu des retours des deux "camps". Heureuse aussi que les illustrations vous aient plu, j'ai pris beaucoup de plaisir à les dessiner. Et je suis d'accord avec votre remarque sur le modus operandi flou, là aussi c'était intentionnel, je pensais que les lecteurs ne s'y attacheraient pas trop, je me trompais ;-)

Publié le 24 Décembre 2020