Devant la situation inédite et historique que nous traversons il m’a paru nécessaire de témoigner. J’ai mis en scène plusieurs personnages, de classes sociales et métiers différents qui tous vont faire l’épreuve de cette période de confinement. Leurs vies en seront transformées ou pas. Je me suis appuyée sur des articles de journaux et ai inclus des dessins qui sont tous contemporains de la crise sanitaire. La fin est ouverte et les questions innombrables.
Les confinés est mon sixième roman :
Eliodora (Société des écrivains à compte d’éditeur)
Sol (Editions La cheminante)
Les trois soeurs qui faisaient danser les exilés (Ateliers Henry Dougier)
Ressac (nouvelles) aux Editions Auzas.
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La question, c’est a t-on déjà envie – ou encore envie – de lire des histoires de confinés ? Votre galerie de portraits est vive (bon, beaucoup trop serrée sur les interlignes et les marges !), alerte, on ne s’ennuie pas, même si vous n’avez pas lésiné sur les clichés des différentes catégories / classes sociales, CSP comme on dit, mais je reviens à ma question. 2 mois à l’Ile de Ré ou dans un F2 à Barbès, on est bien d’accord c’est pas le même confinement. Mais depuis le 1er, les conséquences de toutes sortes ont pris le pas sur tout le reste. Et à mon avis, le genre chronique est déjà trop tard ou encore trop tôt à lire, étant encore dans le présent de cette nouvelle vie. Mais ce point de vue très personnel n’enlève rien à votre étude et je vous trouve très courageuse de vous être lancée sur ce sujet :) Cela dit, je serais très curieuse de lire d’autres avis que le mien, comprendre comment d’autres personnes réagissent aujourd’hui.