La vie est un vrai tour de péripéties. Personne ne choisit préalablement son style de vie. Kwanzambi alias Kabaré ne pouvait pas accepter de vivre une farcie de séquences insipides. Il a vécu beaucoup de choses horribles qu'aucun enfant de son âge pouvait normalement vivre, de situations nocives qu'aucun enfant avec cet âge si innocent ne pouvait travarser. Qu'on se le dise, nous avons toujours en nous cette voix qui soit nous conduit, soit nous induit; et c'est à nous le libre choix de décider à quelle voix obéir. Soit on suit le vent, soit on le guide. Peut-être, quoiqu'il était menacé, c'est ce qu'il choisit faire: guider le vent. Et en guidant le vent, il s'approchait peu à peu à son objectif qu'est réussir à prouver que même un chégué a un avenir.
Ce livre est noté par
@Capucine Fleur,
Je vous remercie pour votre critique si pertinente, ( ça me semble). Il est vrai, pour les quelques mots manquants, j'y travaille déjà déssus.
Et quelle sera ton impression du point de vue quintessence de ce premier tome?