D'une certaine manière, nous sommes tous comme l'Astérion de Borges
enfermés dans ce monde euclidien, que nous avons chez nous.
Limité par le verrou de notre perception,
nous conduisant à travers le labyrinthe des mots des autres
qui, comme l'ancien Dédale, a donné des murs à notre raison.
Nous sommes les enfants de la passion aléatoire du destin pour un taureau cosmique.
Qu'il n'avait pas prévu de nous engendrer, mais nous y sommes.
Heureux dans cette maison que nous a laissée notre mère, la reine.
Où nous passons nos vies à percuter, sans but
procréer sans destin, travaillant dans la tâche quotidienne.
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