Sans doute Ousmane BALDE, écrit, réécrit, lis ses ratures sans jamais oser les divalguer. Il vole à la nuit sa douceur pour remplir les lignes, les pages. Le jeune qui écrit se confesse. Il livre à son cahier ses aspirations, ses peurs, ses amourettes, ses déceptions, ses angoisses, ses vanités, sa maturité innocente, ses cris rebelles, en un mot, son monde. Les confessions du petit philosophe parlent de gribouillis, d'écriture, de rapport inconditionnel entre la plume et l'écri vain. En ce sens, si écrire était un péché, nous aurions dit que le petit philosophe merite la prison de Guantanamo, tellement qu'il a eu à appuyer sur la gichette de sa plume chargée d'encre pour tirer à boulets rouges sur tout ce qui bouge autour de lui. Imaginons le petit criminel, j'allais dire petit Philosophe
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Petitphilosophe, votre démarche est très vertueuse et on ne peut qu’applaudir votre volonté de la partager, mais j’ai deux commentaires. D’abord que vous relisiez, ou fassiez relire, il y a trop de fautes de frappe, de manque d’espace, de mots collés, etc. çarend (je viens de la faire la mêmechose pour illustrer) la lecture besogneuse. L’autre point, plus fondamental, c’est de savoir s’il s’agit d’un roman, d’un témoignage, ou d’un essai. Vous l’avez inscrit en roman, mais dans ce cas, je trouve que cela de roman (romancé) et surtout de progression. Je ne sais pas si ces quelques remarques seront aussi valables que celles que vous avez reçues sur wattpad !