Une chanson dédicacée à celles (ou ceux) qui subissent les violences conjugales et qui, un jours, en sortent et se confient à une personne qui raconte.
@BAITZ Pierre Heol
Merci pour l'interrogation et la perspicacité. Exact, 30 ans en jours, le temps d'une part de vie, le temps qu'il faut pour comprendre que sa place n'est plus avec lui, qu'il est tant de partir, même si les portes de la prison sont aussi lourdes qu'invisibles. Alors que la décision est prise, mais l'action encore difficile à engager, la vie se charge par une crise cardiaque, de le foudroyer.
Et puis une rencontre, des aveux, un récit, et un coupable comme tant d'autres.
Coupable de ne pas avoir été là 30 ans plus tôt, pas forcément par amour, mais simplement par humanité, pour que ce chien, comme tous ceux qui mordent par plaisir ou malice en toute impunité connaissent le gout de la laisse et se voient privés de leur jouet soufre douleur, bien avant de le casser, et ou de trépasser eux même. Telle est l'histoire que j'ai voulu raconter ...
Votre bio m'interpelle ... vite fait, dessert-elle la "ré-habillitation" ou la "vendetta" ? mais suis je peut être complètement à coté. je vais donc lire le contenu pour tenter de résoudre l'énigme... V
pourquoi dix mille neuf cent cinquante? c'est le nombre de jour de souffrance? le nombre de coup de ce sale batard? la question reste entière. la douleur est à vif.
@Donovan Letch . Je n'avais pas pris l'ascenseur non plus.... Merci pour votre commentaire.
En vérité, il s'agit d'un homme qui parle du vécu d'"une femme et s'adresse à elle tout autant qu'à toutes celles et ceux encore sous "emprise". Sentiments mailés de culpabilité, d'impuissance, d'avertissement, d'encouragements ....
Publié le 28 Juin 2023
EMu
Biographie
Au fil des jours,
S'empilent, s'empilent des lignes,
Des lignes de nuit, des lignes sans détour.
Un jour sans signe,
Sortir de...
Ce livre est noté par
@BAITZ Pierre Heol
Merci pour l'interrogation et la perspicacité. Exact, 30 ans en jours, le temps d'une part de vie, le temps qu'il faut pour comprendre que sa place n'est plus avec lui, qu'il est tant de partir, même si les portes de la prison sont aussi lourdes qu'invisibles. Alors que la décision est prise, mais l'action encore difficile à engager, la vie se charge par une crise cardiaque, de le foudroyer.
Et puis une rencontre, des aveux, un récit, et un coupable comme tant d'autres.
Coupable de ne pas avoir été là 30 ans plus tôt, pas forcément par amour, mais simplement par humanité, pour que ce chien, comme tous ceux qui mordent par plaisir ou malice en toute impunité connaissent le gout de la laisse et se voient privés de leur jouet soufre douleur, bien avant de le casser, et ou de trépasser eux même. Telle est l'histoire que j'ai voulu raconter ...
Votre bio m'interpelle ... vite fait, dessert-elle la "ré-habillitation" ou la "vendetta" ? mais suis je peut être complètement à coté. je vais donc lire le contenu pour tenter de résoudre l'énigme... V
pourquoi dix mille neuf cent cinquante? c'est le nombre de jour de souffrance? le nombre de coup de ce sale batard? la question reste entière. la douleur est à vif.
@Donovan Letch
Moins risquée que par le col ;-)
@Donovan Letch . Je n'avais pas pris l'ascenseur non plus.... Merci pour votre commentaire.
En vérité, il s'agit d'un homme qui parle du vécu d'"une femme et s'adresse à elle tout autant qu'à toutes celles et ceux encore sous "emprise". Sentiments mailés de culpabilité, d'impuissance, d'avertissement, d'encouragements ....