Rouge comme les interdits, comme la signalisation routière, comme les cartes aux inquiétantes zones écarlates.
Egalement comme une alerte rouge. Comme un carton rouge, symbole de colère qui fait voir rouge.
Rouge cependant comme l'énergie, comme la joie. Comme la passion, comme la vie.
Déclinaison de nuances chaudes, tel l'intérieur du corps de tout être vivant.
Fil rouge de ce roman, Gédéon, un petit personnage chargé de prendre soin de l'organisme de Gédélise, un être humain parmi d'autres, cheminant en une trace indocile.
Ce livre est noté par
@Elisa Blanche
Bonjour chère lectrice,
Merci infiniment d'avoir lu mon livre et d'avoir pris le temps de rédiger un commentaire. C'est suffisamment rare pour être souligné ici.
Je sais, par mes proches, à quel point mon écriture est perchée, dérangeante, secouante...J'ai pris le parti, dans ce livre, de consacrer plusieurs chapitres à des aspects de la vie intérieure ( supposée) de notre corps, puis le dernier chapitre, plus long, à une narration plus classique. J'aurais du mal à modifier ma façon d'écrire, qui est le reflet de mon mental. Cependant, je prends bonne note de vos suggestions pour mes romans à venir. Je vous remercie vraiment pour ce retour sur lecture.
Vous avez décidé de nous secouer, de surtout pas nous laisser croire qu’on allait lire votre livre sur la plage, un coup sur le dos, un coup sur le ventre. Bon ça tombe bien, l’ordi ou le smartphone sur le sable, pas terrible. Mais ça ne change pas le problème, pas simple de rentrer dans votre histoire, originale, secouante (sic), inattendue, surprenante, etc. Mais ne faudrait-il pas quand même que vous empruntiez quelques conventions auxquelles les lecteurs lambdas sont habitués, un récit dont on comprend qui est qui, un fil conducteur, qui même s’il fait des détours, est quand même plutôt linéaire ? Parce que le sujet est vraiment pas banal et la manière d’en parler, non plus. Donc c’est plaisant, mais quand même (trop ?) déroutant !