La migration clandestine, voilà un sujet douloureux, un phénomène qui ne cesse de s’amplifier. Elle est connue des Algériens par la harga. Pourquoi ce nom bizarre? On donne à ces migrants, le nom de "brûleurs", "harraga" en arabe. Faute de visas, ils tentent de "brûler" la frontière en traversant clandestinement la Méditerranée à bord de cercueils flottants.
De plus en plus inquiétant ces derniers temps, ce mode de migration a pris des proportions inimaginables, le nombre de disparus en mer est exorbitant.
Dans son édition du 30.09.2021, le journal El Watan écrit. " Des médecins, des ingénieurs, des enseignants, et même une femme enceinte. Pourquoi fuient-ils le pays? Ce qui est sûr, c’est que ces péripéties sont une convulsion d’un monde troublé, au bord de la crise de nerfs "
Ce livre est noté par