Un seul Dieu tu adoreras et aimeras parfaitement.
J'ai choisi.
Dieu est-il venu à bout des famines ? Non.
Dieu a-t-il permis à Oscar Pistorius d'être champion de sprint sur cent, deux-cents, et quatre-cents mètres ? Non.
Dieu a-t-il vaincu la lèpre, la peste, la variole, la syphilis, la tuberculose ? Non plus.
Sans la science et la technologie, une sécheresse ou une inondation et vous seriez obligé de manger votre chat ou de ruminer des racines ; les culs-de-jatte seraient encore dans des caisses à roulettes ; des crécelles précèderaient encore les processions de lépreux dans les villes.
Pendant des siècles, Dieu a été la caution de l'ignorance et de l'incompétence des hommes. Ils s'en remettaient à Lui pour tout ce qu'ils leur échappaient.
Ce livre est noté par
@Julien Marsan
La forme narrative, un récit à deux voix, a voulu cet équilibre. Bien que celle-ci donne cette impression d'essai, le livre est cependant bien une fiction qui s'appuie, certes, sur des évènements réels mais pour imaginer un possible devenir.
Merci du temps accordé à me lire.
D’accord avec ces deux commentaires précédents, pourtant un peu antinomiques. Excellent. Mais trop souvent (pour moi) un essai, plus qu’un roman, ou en d’autres mots, un plaidoyer économico-politico-sociétal vs l’art de la narration qui (trans)porte, s’appuyant sur ce concept tout à fait d’actualités et ces personnages forts, différents. C’est ce que vous avez voulu, cet équilibre fifty fifty ?
@Laurent Peyrard
Effectivement, se poser des questions sur l'utilisation des moyens de contrôle peut être salutaire si nous voulons éviter le pire.
@ALICE HOUAN
Merci Alice, d'abord d'avoir pris le temps de lire mon livre, ensuite de ce retour très pertinent et constructif, enfin de votre contribution à le recommander.