Sur la planète Ter, Atalon, un ivrogne notoire, pérore en racontant ses exploits passés aux réfugiés de la planète mère qui veulent bien l'écouter.
Son orgueil éthylique va le conduire à une situation qu'il n'aurait peut-être pas choisie, s'il avait eu l'esprit plus serein.
Ce livre est noté par
@Ray Bus Je suis rentrée très facilement dans votre histoire, même si j'ai trouvé que la vie sur cette planète ressemble beaucoup à celle de la terre. Vous savez amener le suspense et je regrette que la fin arrive si vite. Publiez une suite svp, je suis curieuse de savoir comment le personnage principal va se sortir de sa situation.
Bonjour,
Je trouve l’idée de prendre un ivrogne, couard de surcroît, comme héros est excellente. Le personnage – Atalon fils d’Atalon - sort de l’ordinaire.
J’ai lu votre texte avec plaisir. Le monde SF se laisse découvrir petit à petit. J’ai bien aimé comment vous avez géré le passage du rêve à la réalité.
J’ai vu quelques coquilles qui ne peuvent pas être repérées par un correcteur automatique en général (du type par exemple « quelle/ qu’elle »). Du coup, je vous conseille juste de relire votre texte.
Par exemple et pour vous dire que ça arrive à tout le monde, j’ai repéré plus d’une trentaine de coquilles dans l’épreuve de mon futur recueil de poésie, et c’est un conseil que je donne à chaque écrivain ou écrivaine avant de publier un livre : relire et corriger encore une fois soi-même ou bien, faire appel à des bêta-lecteurs ou à des professionnels de la correction (surtout quand on est autoédité et que l’on sait qu’on n’obtiendra pas 20/20 à une dictée de Pivot, ça peut valoir le coup. En ME ils peuvent faire appel à des professionnels – encore que pour limiter les coûts, je pense qu’ils font de moins en moins appel à ce genre de service).En tout cas, ça aide d’avoir un œil extérieur parfois aussi.
Je me souviens que ça m’a pris quelques heures et ce n’est pas quelque chose que j’aime faire particulièrement, car je dois parfois reprendre mon dico, revenir sur ce que j’ai écrit et changer certaines tournures.
Pour revenir au récit, je comprends qu’il s’agit d’une introduction et pour moi, ça ne demande qu’à se poursuivre plus loin. Je lirais bien la suite.
Amicalement, Alexandre Majorczyk.