Et le passé semblait un songe

@ Philippe RIBAGNAC
Merci pour votre commentaire, je suis satisfait que vous appréciiez ma démarche. Je connais votre propension à philosopher, à abstraire et à élaborer définitions, axiomes et principes généraux (càd tendant à une validité universelle, mutatis mutandis). "Libérer indéfiniment de NOUVELLES ivresses, à partir du même "flacon" du Souvenir", ce peut-être aussi un programme et un objectif des plus inspirants !

@ Ernesto Férié
Merci beaucoup pour votre commentaire. J'en ai apprécié les analyses évocatrices qu'il pose sur mon texte. Je reçois ce commentaire comme des propos qui m'encouragent, qui encouragent mon travail et j'apprécie nettement votre bonne réception de mes écrits, la plupart du temps et notamment ici. Vous me donnez une forme de reconnaissance qui m'est précieuse. Les auteurs que vous mentionnez, Kafka et Italo Calvino, font sens pour moi, en particulier Franz Kakfa dont je m'étais procuré le Journal et les Lettres à Milena il y a près de quarante ans car ses écrits me parlaient et... m'intriguaient.
Cher monsieur Férié, vous êtes bon même les jours ouvrables et c'est heureux ! Je guette ce que vous publiez et publierez, je l'espère, car, au fond, je ressens positivement votre rapport avec l'écriture - et la littérature : il me parle.

Bonne idée d'avoir réactivé ces textes, car en fait j'ai eu l'impression de les découvrir ! C'est peut-être ça le vrai pouvoir de l'écrit : à partir du même "flacon" du Souvenir, libérer indéfiniment de NOUVELLES ivresses...

J'aime beaucoup ce recueil. J'y ai retrouvé ce que je crois connaître de vos écrits, qui m'évoque Kafka (les femmes et la culpabilité, les impasses, l'humour) ou Italo Calvino (la liberté, les explorations narratives, l'onirisme), plus autre chose, qui m'est apparu comme plus intime : la colère. En tout cas, j'ai eu le sentiment de plus de gravité (ou d'urgence ou de danger) que d'ordinaire. En bref : bravo !

@Zoé Florent
Bonjour, et merci pour vos lecture et commentaire, chère Zoé. Je trouve d'ailleurs ce dernier fin et sensible. La mélancolie n'est-elle pas, en effet, déjà inscrite dans le titre ? Et dans nos vies... Mémoire et rêves, similitudes et interactions des deux, parfois, c'est un de mes thèmes majeurs. Avec aussi les formes - passagères ou plus durables - de confusion entre le réel et l'imaginé, les sortes d'hallucinations (hallucinatio : méprise) ou de délires (dé-lirer : sortir du sillon) qui peuvent nous rapprocher de la psychose. Je n'apprends rien à l'infirmière psychiatrique que vous êtes.
Votre écrit autobiographique" Génération double peine" produit encore des effets en moi !
Big bec à vous, Zoé, Michèle, et très bonne journée.
St-Bleyras

Bonsoir, cher @St-Bleyras, et merci pour ce voyage mémoriel ou hypothétique, mêlant pensées et souvenirs. Votre plume élégante a toujours ce petit côté hypnotique qui modifie l’état de vos lecteurs, à peine quelques pages lues ; enfin, je dis “vos lecteurs”, mais peut-être y suis-je la seule sensible… Toujours est-il que ce soir, allez savoir pourquoi, votre prose m’a rendue mélancolique… Notez que je ne vous en veux pas : il est toujours agréablement étrange de renouer avec les états affectifs de la jeunesse, tel le spleen ;-). /// Je vois dans votre précédent commentaire que vous envisager d’écrire de nouveaux textes… Voilà qui me met l’eau à la bouche. À bientôt, je l’espère, et bonne nuit... sans oublier le traditionnel big bec, Michèle

@ Iseut 973
Bonsoir ! J'ai la réponse à votre impression de déjà lu : j'ai déjà publié sur mBS une bonne partie des textes de ce petit recueil, éparpillés dans d'autres de mes publications antérieures sur mBS.
Maintenant, il est temps pour moi de travailler à du nouveau !