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Dans les recoins les plus sombres de la société, une élite perverse orchestre des soirées où le luxe et la déchéance se mêlent dans un théâtre de domination et d'humiliation. Le narrateur, ancien écrivain en quête de rédemption, a tout perdu : son foyer, sa dignité, et ses rêves, broyés par l’échec et la solitude. Alors que son monde s'effondre, une amie libraire, la dernière lumière dans ses ténèbres, tente de le sauver en lui offrant un refuge.
Mais ce refuge devient rapidement une prison. Pris dans un engrenage qu’il ne contrôle plus, il se retrouve catapulté dans un univers impitoyable : celui des golden showers.
Ce livre est noté par
@Foxyne Moon Bonjour,
Votre message me touche profondément, et je tiens à vous remercier pour vos mots sincères et encourageants. Je suis heureux que l'histoire ait résonné en vous et que vous ayez retrouvé une part de votre propre vécu ou ressenti à travers mes personnages. Mon objectif en écrivant est précisément de capturer cette essence de la vie, dans ses nuances les plus douces comme les plus dures, et de la rendre universelle.
Quant à être "cash" dans mes propos, je partage votre avis : il est parfois nécessaire de dire les choses sans détour pour qu'elles atteignent leur cible avec authenticité. La vie elle-même ne prend pas de gants, et c'est ce que j'essaie de refléter dans mes récits.
Merci d'avoir pris le temps de partager vos impressions. Elles me motivent à continuer d'écrire et à explorer encore plus profondément les thèmes qui nous connectent tous.
Au plaisir de vous retrouver dans une prochaine lecture. Lequel de vos livres me conseillez-vous pour commencer ?
Bien à vous,
Allez, quelques mots choisis pour motiver la foule en délire :-) !
"Les trottoirs dégageaient cette chaleur poisseuse qui colle à la peau, et même l’ombre des arbres semblait inutile."
"La nuit se faisait timide, des étoiles effacées dans le mauve, un croissant de lune anorexique pendait comme un témoin gêné."
"Julia était si légère… Je la portais comme une peluche, une plume entre mes bras. Je faisais le tour du propriétaire avec elle, la soulevant ici, la jetant là, table, canapé, lit… comme si elle n’avait aucun poids, aucune densité."
"Son pantalon trop bas, qui laissait apparaître le début de sa raie poilue, me foutait dans un état étrange. Je pouvais pas m’empêcher de regarder. Ça m’énervait encore plus."
"Elle avait toujours cette manière d’apparaître au moment exact où je sombrais le plus profondément, comme une lumière entre deux pages sombres d’un roman de Tchekhov."
"Et quand ça a explosé en moi... c’était comme mourir... La petite mort, la plus belle... Que Dostoïevski m’en soit témoin..."
@Zoé Florent, Grand merci à toi. Tu m’as vraiment secoué les plumes, et j’ai dû aller fouiller au plus profond de moi pour retrouver mon plaisir d’écrire, ma plume, celle que j’avais perdue parce que j’étais trop occupé à vivre… Oui, vivre, pour avoir quelque chose à raconter, vivre, y laisser des plumes et écrire avec ;)
Elisabeth, la libraire ;) m’avait dit que c’était une faiblesse de toujours avoir recours à la fiction et au surnaturel. Elle pensait que je devais écrire sans m’appuyer sur ces artifices. Un jour, qui sait, elle tombera peut-être sur mes écrits, lol.
Merci une fois de plus, mon amie. C’est encore un beau voyage que l’on a partagé ensemble. :)
Des bisous,
Mo
L'univers impitoyable des golden showers... Heureusement que le ridicule ne tue pas...