Foxyne Moon

Mon Dieu que de vous lire me plaît @Zoé Florent. Je vais avoir un samedi comme je les aime. Mon imagination va voyager un court instant avec ces personnages si attachants. J'ai beaucoup ri dans la première nouvelle. Je fais assurément partie de la seconde catégorie, de ceux que l'on appelle familièrement et avec beaucoup de respect " les vieux ". Peu importe le nom qu'on leur donne, j'aime vieillir puisque ma deuxième vie est belle. C'est le secret pour être serein. Apprécier qui on est et ce que l'on vit. Pour ce qui est de votre deuxième nouvelle, je sais que quelque part, moi aussi j'ai un Fernando qui chaque jour pense à moi, si absent soit-il dans ma vie. J'ai laissé couler mes larmes à quand j'ai lu cette dernière phrase. Ça m'a fait du bien. Au moins, elles ne sont pas restées à l'intérieur. Merci pour vos histoires. Et comme je vous l'ai déjà dit, je prendrai une petite dose de votre univers tout comme un morceau de chocolat tout à l'heure. Bon samedi à vous Zoé. Foxyne

@Zoé Florent. Je crois que je pourrais vous lire encore et encore. Je suis en amour avec vos lignes à chaque fois. Mais je vais être raisonnable et n'en lire que deux pour aujourd'hui. J'ai vu que vous en aviez écrit plein d'autres alors tout va bien. Je ne serai pas frustrée de ne plus vous lire. Vos livres sont comme des chocolats dans une boite. Quand on en goûte un, on a tout de suite envie d'en déguster un deuxième. Quelle jolie histoire et tellement bien racontée. Elle est originale, bien rythmée et encore une fois, vous avez trouvé des mots pour raconter des maux. Quel plaisir de vous lire Madame. A bientôt. Foxyne

Chère @Zoé Florent, Cela fait longtemps maintenant que j'ai lu l'un de vos ouvrages et en lisant celui-ci, je ne suis pas étonnée que j'ai adoré vous lire une première fois. Combien de fois aurais-je voulu savoir ce que " l'autre " pensait et surtout si ses pensées intérieures étaient similaires ou contraires aux miennes. Celles de Véra sont similaires hélas à celles de beaucoup de femmes, je le crains. Force est de constater, sans généraliser, que celle-ci a raison. Il y a des hommes et des femmes formidables et puis, il y a les autres. Malheureusement, on croise beaucoup moins d'êtres humains de la première catégorie. Ceci dit, quand il nous arrive de rencontrer des personnes qui ont d'énormes qualités, on les perçoit mieux. Je vais de ce pas voir un autre de vos écrits. Je le savoure à l'avance. Merci pour ce bon moment et à très vite quand j'aurais fini de lire le prochain. Foxyne

Cher @JEAN FELIX EVEN, Whaou... C'est beaucoup trop court pour parler de votre livre. D'un autre côté, je pourrais écrire quelques pages dessus tellement celui-ci m'a plu. Donc, je vais user de la juste dose et vous dire pour quelles raisons j'ai aimé cet extrait. Le synopsis m'a attiré rapidement. Je présentais quelque chose de croustillant et je ne me suis pas trompée. J'ai toujours été très curieuse de savoir comment cela se passait dans d'autres familles. Et même s'il s'agit d'une fiction, elle ne peut être que le reflet de certaines " tribus ". Il y a cet humour cynique que j'affectionne particulièrement. Sur un sujet aussi sombre, rire autant, je ne pensais pas que j'en serai capable. Quoique... Peu importe la personne, je suis toujours prise d'un fou rire nerveux lorsque j'assiste à un enterrement. Votre écriture m'a séduite, autant dans les dialogues que dans les descriptions. C'est, je trouve, ce qu'il y a de plus difficile à écrire. J'ai visualisé chaque paysage et je me suis dessinée autant Sacha que les différents protagonistes de cette histoire. J'ai appris des tas de mots, le vocabulaire employé n'étant plus, à mon grand regret, celui d'aujourd'hui. Nous avons à peu près le même âge, c'est peut-être pour cette raison que nous sommes attachés à ce que nous connaissons d'un passé pourtant pas si éloigné que cela. Bref, je m'arrête là. Je complète souvent ma bibliothèque par des livres qui deviennent vite des références de lecture, en tout cas, des références pour moi. Donc, il est évident que si je veux savoir le fin mot de cette histoire, je vais devoir me l'offrir pour Noël. C'est malin. Mon banquier va encore faire la gueule. Merci en tout cas de m'avoir fait passer un excellent moment et pourtant, la sieste était dans mon programme. Je dormirai mieux ce soir, tant pis. Bonne continuation Monsieur EVEN. Foxyne

@GIBELLINI Cédric. Après la lecture de votre livre, j'ai voulu vous connaître au travers de votre profil. Je ne vous connais pas et pourtant celui-ci ne me surprend guère. Nous connaissons tous le mal ce qui nous permet d'apprécier chaque moment heureux de notre vie. Cela m'a permis de me reconstruire et d'en venir à l'écriture qui fait partie de ma vie depuis deux ans. J'ai appris l'amour de soi, la patience, et bien d'autres choses que j'ai couchées dans mon premier livre. Nos " ambiguités " font de nous ce que nous sommes, des êtres uniques. Que serait le monde dans lequel nous vivons si nous ne connaissions que la tristesse de ne rencontrer que des similitudes ? Que serions nous si nous n'étions pas des personnes uniques ? Qui serions nous si nous ne connaissions pas les chutes pour mieux nous relever ? Je vous remercie d'avoir fait de mon dimanche ce que j'attends de ma vie, une journée qui me promet de la joie et une richesse d'enseignements. Je n'aimais pas les dimanches avant, j'ai appris à les aimer en faisant de ce jour quelque peu sans vie, des heures éclairées. J'aime la manière que vous avez d'user de vos mots et de vos maux. Continuez d'écrire, vous m'avez fait m'évader. Foxyne