Louise et Étienne ont tous les deux des troubles de la mémoire.
Étienne ne se rappelle pas ce qui s’est passé dans cette chambre d’ehpad où la police l’a trouvé endormi à côté du corps d’un vieil homme assassiné. Comme il tenait l’arme du crime entre les mains, il est inculpé du meurtre.
Louise, elle, est obsédée par le souvenir d’une matinée de son enfance où elle vaquait à ses occupations dans la ferme familiale.
Après avoir aimé Étienne, Louise a disparu sans laisser de traces.
Un ami d’Étienne, convaincu de son innocence, embauche une détective pour enquêter sur le meurtre du vieillard.
Étienne est-il vraiment le coupable ? Que faisait-il dans cette chambre ? Pourquoi Louise s’est-elle évanouie dans la nature ?
Difficile de savoir lorsque la mémoire joue des tours.
Cher @AUDRAS Frédéric, si vous l'avez lu avec plaisir, je suis content, c'est le but recherché: donner du plaisir au lecteur!
Votre commentaire fait chaud au cœur après des mois passés à écrire en solitaire, le soir à la chandelle (hum, hum, j'ai un employeur qui, passant par là, pourrait croire que je fais ça pendant les heures de boulot, genre Bruno Le Maire..), avec pour seul lecteur soi-même, plus sceptique qu'un acteur contemplant son maquillage dans la glace avant d'entrer en scène et qui se demande si ça vaut vraiment la peine de se casser la nénette à ce point.
Mais vous savez ce que c'est, camarade écrivain : 3 livres à votre actif sur ce site, le dernier pas plus tard qu'aujourd'hui: Simple dame!
Bonsoir @alain.lamoliatte.
Grand merci pour votre soutien et votre commentaire encourageant. J'aurai plaisir à découvrir le manuscrit de "Service action" que vous avez écrit de votre côté.
Et, finalement, je garde le plus rafraîchissant pour la fin.
Mamzelle @Violaine Malicorne, peut-on voir plus ravissant sourire que le vôtre et plus flatteur commentaire? Mon cœur d'artichaut s'effiloche à vous lire. Je prends vos trois cœurs, merci bien, et je vous suis jusqu'à Landerneau pêcher le maquereau, et même over ze rainbow, en femme ou en homme, c'est vous qui choisissez, je peux être les deux même, au besoin.
La peste que je n'ai pas cinquante ans de moins!
... vous pouvez me chiner, chère @Zoé Florent, je suis complètement chinable et ... "démasquée" par monBest Seller qui, dans sa mise en avant dévoile que:
"Elle publie ses romans sur monBestSeller", en parlant de cézigue.
Oui, voilà, le moment est venu pour moi de venir dehors ("coming out"?): je ne suis pas ce mâle patelin, emmitouflé dans une veste en laine, que montre la photo. Je suis, en effet, une femme, une vraie...
Du moins, cette semaine-ci, car la semaine dernière, j'étais un homme (genre le type sur la photo).
En fait, je suis femme une semaine sur deux, homme en alternance, de nature hermaphrodite, comme la détective Camille dans le roman. Si vous voulez savoir comment ça se peut et comment les changements s'opèrent, il faut lire La femme qui marche.
Le sort des hermaphrodites a été bien négligé par la littérature jusqu'à maintenant. Ce n'est pas le moindre intérêt de La femme qui marche de remédier à cet oubli.
Je poursuis pasque, désolé pour le retard, un instant de distraction et il s'en passe des choses ici, sur monBestSeller (franchement, qui a eu l'idée de ce nom? C'est de la dérision, rassurez-moi: ça sonne comme ze Reader's Digest, vous savez? Non, bien sûr, passé cinquante balais, plus personne n'a vu une bibliothèque remplie par l'alignement des tranches dorées du Reader's Digest. Je lance une pétition: "gardez la formule de monBestSEller, elle est excellente, mais changez le nom". Bon, passons).
Je voulais répondre à @Tomoe Gozen. Pas de lézard pour moi, je suis un vrai cœur d'artichaut. Vous m'envoyez trois p'tits cœurs et je vous suis jusqu'en Navarre... ou du moins, La femme qui marche vous accompagne jusqu'en Navarre car...
Merci pour l'analyse de texte, cher @St-Bleyras.
J'ai les méninges qui fonctionnent au ralenti en fin de semaine, rapport au turbin, et je crache pas sur un petit coup de pouce pour les remettre en branle. J'aime bien le p'tit père Audiard. La preuve, je vous donne à méditer l'aphorisme de cézigue:
"J'avertis: vous bonnissez encore une seule médisance sur une dame et moi je vous fais une tête à la décarrade. Et vous allez comprendre que Charles l'élégant, il faut encore se le farcir".
C'est le père Blier (Bernard pour les jouvenceaux) qui dit ça dans je-sais-plus-quel-film.
Quand on cite du Audiard, faut pas lui faire dire n'importe quoi: un con pour lui, c'est un type qui ose tout, c'est même à ça qu'on le reconnaît.
Rien à voir avec La femme qui marche...
@Philippe Mahenc
Je voyais plutôt une considération anatomique dans le commentaire de @Joker380. Une femme qui marche, et donc...
@Zoé Florent
Ce que j'aime par-dessus tout chez vous, c'est que vous ne ratez jamais aucune occasion d'être mesquine. Sous le couvert, bien sûr, de la plaisanterie, mais sous la plaisanterie le naturel perce...
Auriez-vous souscrit un pack livre +, cher Philippe ? Je vous chine ;-)... Bravo pour cette mise en avant méritée !
PS : @Tomoe Gozen cessez d'imaginer le monde à votre image, très cher. Il se trouve que Philippe Mahenc, avec qui j'ai déjà échangé, possède un vrai sens de l'humour...
Merci @Cécile Labate pour cet aimable commentaire. Il me touche pour diverses raisons. D'abord parce que les personnages vous ont plu et vous avez apprécié le temps passé en leur compagnie (qu'attendre de plus à la lecture d'une histoire? What else? dirait George Clouné avec qui je prenais le café à midi).
Ensuite, parce que c'est la première fois qu'on me fait confiance quand je prends le volant... dans la vie réelle je veux dire.
Aussi loin que je me souvienne, j'ai dissuadé tout le monde de monter en voiture avec moi comme passager. Ma propre voiture, couverte de bosses et d'éraflures, tient à distance tout autre véhicule qui tenterait de l'approcher. Pas plus tard qu'hier, le SUV gonflé de testostérone de l'épicier qui contrôle le trafic de drogue en bas de mon immeuble a préféré défoncer un parcmètre plutôt que de croiser ma titine. Je ne respecte plus la priorité à droite grâce à elle: on préfère la laisser passer plutôt que de prendre un risque...
George lui-même me demandait à midi: "What the hell with your fucking lemon?"
Ce que je traduirai par: "Miséricorde, quel est le problème avec ton citron inverti?".
J'avoue que je ne comprends pas tout ce que George me raconte, mais je continue à le fréquenter quand même, il est amusant. Par exemple, il ne sait pas du tout comment faire marcher une cafetière italienne, incroyable, non? Mais il ne veut pas l'avouer, alors il fait semblant et c'est très drôle de le voir s'emmêler les pinceaux...
Bon, peu importe.
Oui, je me doute que c'est une image, monter en voiture avec moi en me laissant le volant. C'est une belle image! Elle me plaît. Merci Cécile!
En voilà un commentaire qu'il est intéressant, M. Joker380!
Et pourquoi 380?
Parce que vous avez déjà produit 379 autres commentaires tout aussi intéressants, avec l'audace qu'insuffle l'anonymat?
Un intellectuel assis va moins loin qu'un con qui marche, disait Audiard.
Bonsoir @Nelson M. Si les personnages vous ont plu et que vous avez trouvé du plaisir à lire leur histoire, je suis ravi, c'est le but recherché. Je vous remercie pour votre commentaire enthousiaste et votre envie de le partager, c'est très aimable de votre part et réconfortant pour moi. Je vous souhaite de réjouissantes lectures à venir.
@Philippe Mahenc Figurez-vous que j'ai supprimé une certaine scène que vous aviez trouvée clichée et qui vous avait fait éclater de rire (en hommage à votre jugement :-)).
Bonne soirée, Philippe. Amicalement,
Michèle
Bonsoir @Zoé Florent. Grand merci pour votre commentaire incisif: une coquille dès la première page, honte à moi, vite que je l'enlève!... peut-être le signe que je suis allé trop vite, que je n'ai pas assez relu... Je ne sais pas si j'aurais pu faire plus court, c'est trop récent, j'ai encore le nez dans le guidon pour celui-ci. On verra bien s'il y a d'autres commentaires. J'avais déjà eu la flemme de reprendre et raccourcir Les oiseaux: je garde ça pour la retraite.
En revenant sur Monbestseller, je découvre que vos boxeuses amoureuses ont été complètement remaniées en "Rebelles amoureuses": j'aurai plaisir à les retrouver pour quelques rounds avec elles. Amicalement.
Après un premier roman partagé sur Monbestseller (Les oiseaux perchés sur les fils électriques connaissent-ils le musique?), qui a bénéficié...
"La femme qui marche" est le "Livre le +" du 8 novembre. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Philippe Mahenc, c’est pour cela qu'il publie ses romans sur monBestSeller.