Foxyne Moon

@Christian BALLET Après avoir fini ma journée avec " Quand le fer est chaud ", j'ai voulu attaquer celle-ci avec votre second ouvrage. Moi qui suis une hypersensible, vous m'avez faite pleurer de bon matin mais peu importe. Vous me donnez à chaque fois des émotions qui me font me sentir vivante. Peut-être aussi parce que mon père va partir loin de moi, trop vite, atteint d'une maladie que je déteste déjà. 95 ans et toute sa tête. Vous m'avez donné ça ce matin, me rendre compte si tant est que j'en avais besoin, que j'ai une chance impertinente qu'il n'ait rien oublié. J'ai toujours pensé de cette maladie que le plus difficile était pour ces oubliés, ceux qui essayent désespérément d'entretenir la mémoire de ceux qui la perdent. Et d'après vos lignes, je ne me trompe pas même si votre père en a souffert. Je vous souhaite que vos jours prochains puissent alléger votre peine. Merci pour votre partage si émouvant. Foxyne

@Christian BALLET Merci Monsieur de m’avoir fait m’évader et surtout de m'être identifiée, pendant cet instant de lecture, à Marie, une femme douce, vraie et aimée d’un amour que quiconque aimerait connaître. Je ne saurais exprimer correctement l’aventure que je viens de vivre. Votre livre fera partie d’une des pages de ma vie, une page où j’ai passé un moment délicieux. Vous avez su écrire vrai. Vos dialogues expriment à la perfection ceux que nous pourrions avoir avec des inconnus, des proches, des ennemis si nous en avions, des parents avec qui on a du mal à vivre notre jeunesse et avec un amour comme celui de vos personnages principaux. Merci à vous pour un si beau livre. Les intrigues sont celles que l’on attend d’un film quand on le commence et je déplore à l’avance que cette histoire n’arrive jamais sur nos grands écrans. Je vous en prie. N’arrêtez jamais d’écrire. Vous le faites si bien… Foxyne

@Jean Pierre Vilaceque Je commence à regretter, moi qui ne connais pas ce sentiment, de ne pas avoir commencé mon existence par votre livre. Cela m’aurait certainement permis d’apprécier certains moments de ma vie à leur juste valeur et évité certains déboires amoureux. J’ai lu votre livre avec délectation dans lequel d’autres personnes pourront vivre comme moi par procuration des moments intenses d’une activité sexuelle. Je me demande bien à partir de quel âge on peut lire sans trop rougir ce genre d’ouvrage. A 58 ans, j’ai estimé qu’il était temps pour moi d’appliquer la théorie plus que la pratique. Cette pause m’a divertit autant que séduite par la bonne écriture que j’y ai trouvée. Moi qui me suis mise à écrire des contes pour enfants, je dois dire que la différence est importante et j’ai adoré me plonger dans le monde des adultes. J’ai beau en être une, il est toujours intéressant de voir ce que l’autre a dans la tête et la manière qu’il a d’interpréter les choses. Merci pour ce moment. J’ose emprunter cette phrase dont l’auteure ne vous est pas inconnue, j’en suis persuadée car les mots me manquent (ce qui est assez rare chez moi) pour vous exprimer ce que j’ai ressenti en arrivant à la dernière page. Vous avez su décrire avec brio des scènes que beaucoup de personnes connaissent sans jamais oser en parler. Je sais avec expérience ce que les femmes pensent et vivent, mais j’ignore le plus profond de l’Homme. J'ai regretté bien des fois la pudeur qu'ils ont pour exprimer leurs sentiments. Je lirai sans hésiter vos ouvrages que j’ai aperçus sur le site. Bonne continuation…

@L. Carmen Qu'il m'a été agréable de vous lire madame. Et rassurant. Moi qui pensait être la seule à avoir mille pensées dans la tête quand je regardais " l'autre ", je constate, puisque c'est vous qui êtes l'autrice de ce livre, que nous sommes au moins deux. J'ai beaucoup ri et j'ai souri aussi. Je me suis fait deux tranches de pain de mie pour ne pas lâcher votre histoire. J'ai aimé le rebondissement final puisque c'est ce qui fait de votre livre un bon ouvrage. Merci de nous offrir un petit moment de bonheur.

@Aline LEQUEUVRE Moi qui trouve toujours les mots pour exprimer ce que je ressens, je reste un peu muette face à l'épreuve que vous avez subie. Vous n'avez, à aucun moment, usé de misérabilisme pour parler de ce drame que vous avez su combattre avec le peu de forces qu'il vous restait. Vous êtes une combattante, une vraie. Et votre " après " est digne de quelqu'un qui a compris ce que la vie avait de plus abjecte mais surtout de plus merveilleux. Votre mari est un compagnon de vie qui, je suis sûre, doit être fière de la femme qu'il a choisie. Quant à vos deux enfants, que ce soit le plus grand ou la plus petite, il est évident qu'il se rendront compte plus tard de la chance qu'ils ont d'avoir une maman comme vous. Je ne peux que vous souhaiter une vie magnifique parsemée de joies, de sourires, de rires et d'amour mais ça, je sais que vous l'avez déjà. Pour faire un peu plus court, je vous souhaite d'être la femme la plus heureuse de la planète. J'espère vous relire bientôt.