@Christian BALLET
Après avoir fini ma journée avec " Quand le fer est chaud ", j'ai voulu attaquer celle-ci avec votre second ouvrage. Moi qui suis une hypersensible, vous m'avez faite pleurer de bon matin mais peu importe. Vous me donnez à chaque fois des émotions qui me font me sentir vivante. Peut-être aussi parce que mon père va partir loin de moi, trop vite, atteint d'une maladie que je déteste déjà. 95 ans et toute sa tête. Vous m'avez donné ça ce matin, me rendre compte si tant est que j'en avais besoin, que j'ai une chance impertinente qu'il n'ait rien oublié. J'ai toujours pensé de cette maladie que le plus difficile était pour ces oubliés, ceux qui essayent désespérément d'entretenir la mémoire de ceux qui la perdent. Et d'après vos lignes, je ne me trompe pas même si votre père en a souffert. Je vous souhaite que vos jours prochains puissent alléger votre peine. Merci pour votre partage si émouvant. Foxyne
Publié le 21 Septembre 2024