
Ecosse, 1643. Banni de son clan depuis quinze ans, Edward assiste au trépas de sa mère. Sur son lit de mort, cette dernière lui révèle qu'il est le fils unique de son père, qu'il doit être fort pour son clan et contre une personne qu'elle n'a pas le temps de nommer. Chose incompréhensible aux yeux d'Edward puisqu'il a un frère. Suite à ce décès, le cauchemar de son enfance refait surface de manière floue et incomplet. Poussé par ses proches à retourner dans les Highlands, Edward se met en tête de découvrir la vérité sur le meurtre de son père et comprendre ainsi les paroles énigmatiques de sa mère. Là-bas, il découvre l'existence d'un oncle, renoue avec ses racines, trouve le guerrier qui sommeille en lui et tombe éperdument amoureux. Il doit reprendre sa place au péril de sa vie.
Ce livre est noté par
Bonjour amis lecteurs !
Et voici la version allégée !
Bien à vous,
Sorcha Galy
Bonjour amis lecteurs !
Un éditeur m'a demandé de réduire le nombre de pages pour une éventuelle publication. Je travaille activement dessus. Une nouvelle version sera bientôt mise en ligne.
Bien à vous !
Sorcha Galy
Bonjour Sorcha Galy,
En premier lieu, bravo pour votre souffle, votre abnégation et votre endurance. Il n'y en a pas beaucoup qui ont cette patience d'écrire un roman de 750, comme l'on ferait une Tour Eiffel d'au moins deux mètres avec des allumettes . C'est à croire que vous avez l'épopée dans le sang. De plus, vous possédez les sabots galopants du rythme qui est le nutriment primordial pour bien lancer le lecteur dans une aventure historique. Nonobstant, c'est justement cet ancrage historique qu'il m'a le plus manqué dès les premières pages de votre prologue. Vous nous plongez en Écosse en 1643 et les informations sont bien rares concernant les évènements de cette époque lointaine. Votre écriture décrit des personnages assez neutres circulant dans un univers assez neutre qui pourrait aussi bien se situer ici ou ailleurs, quasi n'importe quand. Seule référence folklorique à l'Écosse, page 9, la présentation de ce sculpteur qui a forgé le monstre du Loch Ness, lequel fut découvert en 1934 (soit trois siècle après votre récit) et entra rapidement dans la culture populaire à travers la célèbre photo publiée par le Daily Mail. À ceci près qu'après de nombreuses enquêtes ce cliché se révéla être un canular réalisé par le médecin anglais Robert Wilson. Mais peu importe ! Le lecteur insouciant n'ira sans doute pas vérifier ce fake dans les annales des Highlands. Bref, c'est un vrai passionné des romans historiques qui vous parle. Ne voyez donc là aucune critique ironique ou défavorable de ma part ! Je pense que vous êtes réellement traversée par les grands vents de l'historicité, mais qu'il vous manque encore un peu le travail préparatoire d'un Ken Follet, d'un Umberto Eco, d'une Jean Auel ou Romain Sardou, pour ne citer qu'eux. En souhaitant à vos prochaines aventures d'abonder et de persévérer dans ce sens. Bien à vous !