"Tôt ou tard, vous viendrez à moi, tous.
Les mots que je trace depuis toujours sont un appel irréfutable, une voix immortelle. L'éternité a tout son temps."
T.N.
Lire ''Un coup chez Mudo" c'est abandonner l'idée la lecture divertimento, ne pas s’imaginer ouvrir le bouquin pour se détendre, le prendre comme passe temps. Cette nouvelle c'est du lourd . C'est de la littérature ! La vraie, la profonde, effrayante par le sujet, encourageante pas son existence ! Chapeau
A.H.
..... on boit avec les agents de la mort, avez-vous entendu à la santé exprimée d'une voix dont la beauté dépasse la splendeur du marbre des sarcophages .....
Ce livre est noté par
@FANNY DUMOND
ben moi non plus ^^!
@La Balade, merci pour votre retour. Quant aux coquilles se sont les siennes que j'ai regroupées dans une phrase ainsi que longueure avec un e. Je pense qu'il n'a pas compris et je ne sais pas s'il les a corrigées depuis. Je ne vais pas lui faire la faveur d'une lecture supplémentaire ;-). Oui, c'est lamentable sur un site sur lequel je poste mes petites écritures depuis 2 ans et que j'affectionne particulièrement. Je pense que je ne suis pas encore prête pour devenir une bêta-lectrice selon la tribune de Yannick. Cordialement. Fanny
@FANNY DUMOND
Je m'en suis doutée. On m'a un peu fait le même coup (réponse changée mais au moins, l'auteur l'a signalé. Il n'empêche que ma seconde réponse tombe du coup un peu à côté).
je trouve cette façon de faire très limite... Voire lamentable. Quand on cherche les gens, on les trouve. Retirer par la suite les propos (sans doute déplacés) qui ont créé la polémique est une forme de lâcheté...
Quant à sa réponse, rassurez-vous, on voit que les "coquilles" sont délibérées !
mon post a aussi été motivé par la façon dont ont été accueillis vos conseils qui, à moi, me paraissaient plutôt bien vus.
@La Balade, et autres lecteurs. Je tiens à apporter une précision. Entre mon premier et second commentaire se trouvait la réponse de l'auteur qu'il a habilement supprimée. Cela dénature complétement mes propos (je suis bonne pâte mais quand on me cherche on me trouve). Je regrette de ne pas avoir signalé cette réponse aux responsables du site. Sans plus de commentaire. Fanny
@Al Little Big
Vous avez été, semble-t-il, très vexé de ne pas être sélectionné dans le recueil de nouvelles "Pièges" avec cette nouvelle... Au point de râler dans les commentaires.
Je me suis dit que, pour agir ainsi, votre nouvelle devait être absolument géniale... Je l'ai lue. Avec attention.
Je dois vous avouer que j'ai été déçue. Je trouve certains effets de style lourds (premier paragraphe, répétitions que j'ai trouvées pénibles...). Il y a des coquilles que vous auriez pu corriger depuis. Je dis cela car vous êtes fier de ce travail. Lorsque l'on nous fait part de ce problème, je pense que nous sommes beaucoup à nous atteler à une nouvelle relecture pour les traquer et les éliminer. Cela fait trois fois que je réactualise mon dernier texte et c'est la première fois que j'en proposais un sans l'avoir relu au moins cinq fois. Les dialogues, en effet, ne respectent pas les codes de l'édition, ce qui fait que, parfois, on peine à différencier le récit du dialogue. La lecture n'est donc pas fluide. Plusieurs personnes vous l'ont signalé. Certes, vous n'êtes pas obligé de changer votre texte mais, peut être serait-il bon de songer à cette modification au moins.
Je comprends la chute ; je la trouve mal amenée. J'en suis navrée.
Maintenant, il y a aussi des points positifs : il existe une ambiance dans ce texte. C'est certain. Il y a matière à obtenir un bon texte en le retravaillant... Du moins c'est mon avis...
Nous sommes beaucoup sur ce site à rêver que nos écrits soient un jour publiés par une grande maison d'édition. Certains ont déjà publié, d'autres ont reçu des contrats à compte d'éditeur sans forcément avoir dit oui (je plaide coupable, peut être une bêtise même si c'était de petites structures...) ; certains n'ont jamais osé franchir le pas de l'envoi aux maisons d'édition, et ce malgré leur talent, d'autres oui mais sans succès... Je crois que la clef de la réussite repose sur notre capacité à prendre du recul sur nos écrits et à être humble.
Quelqu'un a critiqué mon utilisation des adjectifs qualificatifs dans "Les lettres écarlates 1 : Des vagues dans l'âme". Je ne m'en suis pas offusquée. Au contraire. En plus, c'était une interrogation que j'avais. Je vais utiliser cet avis pour améliorer mon texte. Je ne sais pas encore quelle direction prendre : aller à fond dans le concept du personnage défini par quelques qualificatifs (genre Kundera) ou enrichir cette base lexicale pour gommer ces répétitions ?
Quand j'ai envoyé le roman "Le narcisse et l'aubépine" (dans "Triptyque de monstres") au Dilettante, ils m'ont dit que, même si l'histoire était bien construite et les personnages bien faits, il ne se passait pas grand chose... En effet, le harcèlement moral au travail est un ensemble de petits riens qui forment un tout insoutenable. J'ai préféré ne pas toucher au texte car c'était un choix éclairé. Par contre, ils avaient soulevé un point essentiel : mon lecteur finirait-il sur sa faim et frustré ? Du coup, j'ai adjoint à mon roman deux nouvelles où il y a plus de péripéties pour contrebalancer.
Loin de moi l'idée d'étaler mes expériences (et puis, ce n'est pas comme si j'écrivais depuis longtemps... "Le narcisse et l'aubépine" est ce que j'ai commis en premier)... Ce que je veux dire, c'est qu'il est important, lorsque l'on est un écrivain en herbe, écrivaillon ou je-ne-sais-quoi, de tenir compte des avis des lecteurs et de ne pas se prendre au sérieux. Sur ce site, les gens sont bienveillants... Oui il y a du copinage (c'est humain) mais lorsque quelqu'un nous donne un conseil, il faut peut être se demander si notre style, notre écrit et nous-même, ne gagnerions pas à le prendre en considération.
Votre attitude, vos réponses et le fait que vous ayez râlé après le concours m'ont interpellée dans un premier temps, puis j'ai lu votre nouvelle et cela m'a mise en colère : je vous ai trouvé gonflé, je dois avouer. J'ai lu pas mal des nouvelles du recueil et je pense que vous n'y aviez pas votre place (je ne juge pas par rapport à la mienne). Alors, j'ai soufflé un coup et je me suis dit que je ne pouvais pas passer mon chemin sans commenter, puisque cela m'a affectée. En outre, je sais à quel point les avis sont précieux.
Voilà, je pense que vous ne prendrez pas bien ce retour. Qui le pourrait ? Je me dis que, peut être plus tard, vous évoluerez, reprendrez ce texte et en ferez quelque chose de gracieux. Ou pas.
Qui sait ?
En attendant, je préfère ne pas vous noter. Désolée, je sais que mes propos sont durs mais vous ignorer ou vous brosser dans le sens du poil en espérant que vous ferez une bonne critique de l'un de mes écrits serait hypocrite, irrespectueux et franchement répugnant.
Avec grand plaisir, évidemment : )
Bonne soirée et à bientôt sur ma page alors.
Muriel E.
@ Muriel E. Pas du tout ! Je ne me sens pas offensé ! D'ailleurs je me cite ( si vous permettez ) : " Je ne suis pas d'accord, mais merci pour votre passage par ici et j’apprécie, surtout, que vous ayez exprimé votre opinion, un peu ex cathedra, mais les opinions sont rares donc, MERCI ! :)". Je n'ai jamais pris votre commentaire comme une critique négative. J'ai seulement essayé d’expliquer, en peu violemment peut être, les dialogues qui vous ont, un peu, gênés ainsi que le nombre des caractères. Et même que j'irai vous lire. On reste "copains" ? :) .
Bonjour,
Lorsque l'on propose un texte, ici, il ne faut pas oublier que les avis donnés sont personnels et, en ce qui me concerne, bienveillants. J'ai moi aussi reçu des critiques positives et négatives sur mon travail, il faut l'accepter pour ce que c'est : des personnes qui ont pris le temps de vous lire et celui de laisser un avis. Je vous ai donné le mien et n'ai pas mis en causes vos qualités. Mon observation est ce qu'elle est. Vous ne pouvez savoir comment les gens vont ressentir votre texte car c'est propre à chacun. Certains adorent d'autres détestent, vont y trouver des qualités ou des défauts différents. C'est ainsi, alors je regrette de vous avoir offensé. Ce n'était pas le but. De fait, j'évite de lire les commentaires précédents quand je sélectionne un texte pour le lire, cela m'évite d'être influencée et je n'avais pas vu que vous aviez déjà précisé que ce n'était pas le texte proposé au concours.
Ce n'était que mon humble avis, encore une fois. Bonne continuation.
Muriel E.
Bon, encore une fois fois. La nouvelle, présentée ici, à plus de 8 000 caractères, mais la version pour le concours respectait la règle. Donc ce n'était pas cela ! Comment pouvez-vous me sortir des remarques pareilles à propos des dialogues ? Quelles actions du personnage se mélangent avec les dialogues ? Le sens même de cette "bonne idée générale" serait perdu autrement, sans le conflit intérieur que ces dialogues font sentir ( et non décrire ) ce texte cesserait d'être un texte littéraire. Je ne suis pas d'accord, mais merci pour votre passage par ici et j’apprécie, surtout, que vous ayez exprimé votre opinion, un peu ex cathedra, mais les opinions sont rares donc, MERCI ! :)
Merci d'avoir ajouté mon livre dans votre bibliothèque Perry ! Bonne lecture !
Al Little Big @ Fanny Dumond
II
Attention ! Votre ironie vulgaire "Le come back de Faulkner sur fesse bouc" s'adresse et agresse la personne qui a commenté mon texte. Calmez la colère et préparez votre Goncourt ! Je m'en fous de ce que vous ne comprenez pas dans mon texte, mais je me sens obligé de signaler si vous offensez les lecteurs qui passent sur mes lignes !
Je vous prie d'aller ailleurs, dans votre jardin, bêchez une bonne longueur, comme vous le promettez vous-même ! C'est un excellent traitement !
att; aux coquilles ( "boir plain de vert au contoir" )
No comment needed ! LOL
@ FANNY DUMOND
I
Si vous vous permettez de m'envoyer aux stages d'écriture ce n'est pas un humble ressenti comme vous le présentez . Vous ne me déplaisez pas, vous me faites rire et vous me surprenez aussi, votre audace incroyable surtout. Vous n'avez même pas compris ce texte et vous le descendez et vous m'invitez d'aller lire, lire, lire avant de me lancer dans la belle aventure de l'écriture" . Vous n'avez pas vu le piège dans ce texte ?! Vous croyez que c'est "dû au fait que ma lecture a été fortement perturbée à cause de vos dialogues dans lesquels vous intercalez des descriptions (- T'as peur d'eux ? J'ai passé ma ma main sur l'épaule de Sylvain... et vous continuez le dialogue)." Le Piège écrase tout le monde dans le bistrot y compris le lecteur par sa présence dans ce récit, le piège est la consistance même de cette nouvelle. Mais vous n'avez rien vu, rien saisi. Rien senti ! Rien ! Ce ne sont pas des descriptions intercalées, c'est ainsi que l'auteur crée de la tentions, de la peur, cela explique les rapports entre les gens dont on parle, cela donne le sentiment de temps et de son absence à la fois, c'est avec ces ces éléments du texte que l'on sent l'odeur, que l'on traverse la lumière et on entend les bruits et les voix dans l'espace que l'on décrit. Tout cela vous a échappé ? Et vous me donnez votre opinion et vous me conseillez? Avez-vous remarqué la chute dans cette nouvelle. Non? Oui ? L'avez-vous comprise ? Non !
PS
Ici il y a un peu plus de 8000 caractères. La version pour le concours a respecté ce nombre.
Il y a de coquilles, mais je vous signale que je suis disqualifié et que le texte de lauréat les affiche aussi, donc ,?
ps2
Les commentaires qui vs ont précédés :
"Un très beau texte, très bien écrit, avec quelque chose d'envoûtant. Comme si ce bistrot près du pont était le seul lieu possible, le seul réel -le reste du monde ayant sombré dans les brumes du passé. "
"Une ambiance lourde, à la Faulkner,
C’est la grande littérature qui dit à petits mots et pointe sa faucille, son couperet tranchant qui écartèle les mots jusqu'au silence.
"C'est sombre, morbide et sans espoir. J'aime bien."
Tous dans une classe d'un stage d’écriture ?, .
Votre superbe me donne la BIG inspiration pour mon prochain roman intitulé "Le come back de Faulkner sur fesse bouc". Je voue inviterai à boir plain de vert au contoir de la sale du prix Goncourt que je suis certaine d'obtenir. Selon le précepte de François-Marie Arouet, je cultive mon jardin dans lequel je n'ai jamais semé une certaine cucurbitacée. Promis juré, demain je bêcherai une bonne longueure de mon potager.
PS : vous me permettrez, peut-être, de vous suggérer de lire la dernière newsletter de MBS.
@Al Little Big, Au risque de vous déplaire, je me lance pour vous donner mon humble ressenti quant à votre disqualification.
- Votre nouvelle me semble un peu longue. La consigne était : au maximum 8000 caractères espaces compris. Les textes ne répondant pas à ce critère sont automatiquement rejetés.
- Nombreuses coquilles (se relire prend du temps ;-)
- Je n'ai pas saisi où était le piège peut-être dû au fait que ma lecture a été fortement perturbée à cause de vos dialogues dans lesquels vous intercalez des descriptions (- T'as peur d'eux ? J'ai passé ma ma main sur l'épaule de Sylvain... et vous continuez le dialogue). Quand un texte demande plusieurs lectures c'est que manifestement il n'est pas limpide.
Finalement, je dirais qu'il y a beaucoup plus grave dans la vie que d'être recalé pour un écrit. Sur MBS nous avons cette chance d'être évalués par un jury issu de l'édition. Je vous conseille de cliquer sur l'onglet "Conseils et ateliers d'écriture" et comment écrire une nouvelle ? Ce sont des conseils très précieux. Pour ma part, je lis énormément et souvent des anthologies de nouvelles. Je suis publiée dans les recueils mais j'ai toujours la crainte d'être complètement hors sujet. Lire, lire, toujours lire c'est à mon avis le passage obligé avant de se lancer dans la belle aventure de l'écriture. Cordialement. Fanny
Merci Arford , Sympa d'avoir laissé un mot, une trace de votre passage "Chez Mudo" :)
Merci Tina pour ton passage par ici . Un texte a besoin de lecteurs comme la peinture a besoin de regards .Un commentaire témoigne que quelqu'un a entendu le hurlement inaudible de l'auteur dans la nuit. Une opinion flatteuse et même une critique destructrice, avec leur quelques mots le préserve de commettre irréparable : le suicide, après avoir constaté que le Jury n'avait pas pris sa nouvelle dans un recueil de 106 autres !!! Même le rêve de laureat n'est pas admis! Sa nouvelle n'est pas assez bonne même pour faire l'affiche à l'entrée " ICI CONCOURS" . NEIN ! RIEN ! zero, nulla , dégage ! ( à la place de suicide retourner une à Lafont ? :)
Merci d’être passé
Quelqu'un a dit que tu m'aimes .... non ce n'est pas ça, quelqu'un a dit : "Un très beau texte, envoûtant malgré son fond sombre et métaphysique !"
Je transmets encore :
"Un très beau texte, très bien écrit, avec quelque chose d'envoûtant. Comme si ce bistrot près du pont était le seul lieu possible, le seul réel -le reste du monde ayant sombré dans les brumes du passé. "
Une ambiance lourde, à la Faulkner, quelques vétilles à revoir (accord des temps, etc …).
C’est la grande littérature qui dit à petits mots et pointe sa faucille, son couperet tranchant qui écartèle les mots jusqu'au silence.
« Je suis allé me planter devant eux, devant les trois croque-morts qui regardaient à travers moi, à travers le mur, à travers le temps »
La chute, mais chûût … vous devinez …
Et puis ... un texte comme ça se passe de commentaire, non ?
Très contant de votre passage sur mes lignes .
Oui :), merci d'être venu !