Lorsque la vie nous pèse au point de devenir amère, si froide et glaciale que même une nuit sans étoile ne saurait être aussi sombre que l'ai notre cœur.
Il ne reste devant nous qu'une seule option, un seul chemin une seule issue, celle d'en finir avec la vie !
Alors on place devant soit l'objet, la chose inerte qui va servir la cause ultime qui ouvre l’existence a sa fatale sentence, l'être s'ouvre alors une dernière fois devant une feuille pour poser les mots,
Expliqué alors l'acte explicable du geste finale. On prends son crayon, on le tourne dans sa main, on suce le capuchon puis on commence une phrase, on la barre, on l'efface, on jette cette première feuille puis on en prends une autre et
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Dommage que la mise en page et les incessantes fautes rendent la lecture pénible. Car on perçoit votre douleur dans vos mots. Mais on pourrait mieux l’entendre.