Suite à de long séjour à l’hôpital, Louis va chercher une une façon pour tuer l'ennui. Sur un lit, immobilisé, le choix n'était pas très vaste. Plongeant dans ses souvenirs, il commença par gribouiller quelques notes sur papier libre. Nostalgie, amertume se mêlant parfois avec des poussées de regrets. Aimant de plus en plus jouer avec les mots, il parvint à trouver un équilibre entre douleur et écriture, calmant ainsi ses maux. Aujourd'hui, tout n'est plus que souvenir, mais son cœur reste encore affecté par ces long moment ou il se sentais si seul au monde.
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bonjour Thierry, je vous remercie pour ce commentaire. Non je ne connais pas Joë Bousquet? je serai ravis de le connaitre quoique ça peut paraitre paradoxal, je ne suis pas un lecteur assidu. Je ne lis que très rarement. Je vous souhaite une bonne continuation.....
bonjour Khris je vous remercie pour ce petit mot, je me presse de vous lire aussi
Je vous remerci Flora-d'amour et maillot jeanne pour vos commentaire , j'ai également écris un livre qui s'appelle "Le fleuve des morts" si vous voulez le lire ou y laissez un commentaire voilà le lien : http://www.monbestseller.com/manuscrit/le-fleuve-des-morts#.VJbOk_8BpA
Magnifique poèmes !! Bravo vous mérité la première place !
bonjour A bailly, je te remercie pour ton commentaire qui me va droit au cœur.
Juste touchant. C'est bien le premier but de la poésie. Bonne continuation
Beaucoup beaucoup de matière allongée sur le papier à l'âge de 17 ans, à l'occasion de la première hospitalisation, à l'aune d'une longue série. Matière à retravailler tant il y a matière à le faire. Poésies aux maux violents, avec des mots traitant de la violence et de la souffrance, expliquée par une enfance et une adolescence sous le signe du négatif.
Poèmes à laisser en l'état si l'auteur le souhaite, s'il faut un fil conducteur vers les écrits suivants, pour mesurer l'évolution de l'homme, de leur auteur, et de son verbe, au fil d'une vie où il ne cesse de chercher à comprendre, à se comprendre, pour un jour mieux se retrouver et peut-être trouver enfin la paix, une paix.
Et chapeau,
Car c'est toujours un prise de risque que de livrer un travail personnel, que de se livrer, à l'inconnu, aux inconnus...
Et tu n'avais encore que 17 ans, aujourd'hui, 51 ans...
Ses poèmes sont magnifique . J'aime beaucoup .
Une poésie qui résonne comme des moments de vie, avec beaucoup de mélancolie, de tristesse. "ma tombe" m'a le plus frappé. Merci de ce partage.