Dans le monde ou la science domine ou la philosophie est en déroute vu le progrès scientifique et technologique, en tant que philosophe je me lance à démontrer la grandeur du philosophe au prés du développement scientifique tout en donnant les critères de cette grandeur.
Ce livre est noté par
Cher collègue, confrère et ami. Il est bien de relever que la philosophie n'a pas la place souhaitée. Toutefois, je trouve votre essai un peu scolaire et didactique. Nous sommes loin de Socrate, Platon, Aristote qui étaient simples et naturels, en phase avec leur société. C'est pourquoi, aujourd'hui encore nous remontons à eux. Nous pouvons aussi remonter à Confucius et à d'autres penseurs qui gardent l'homme à sa place juste. Un être libre qui répond à ses questions par la réflexion, la déduction et l'analyse. Un être qui respecte l'humanité et la liberté de pensée. Merci de cet essai utile.
merci
personnellement, je trouve très prétentieux de s'octroyer cinq étoiles. D'autant plus que tout le monde peut voir que c'est vous qui les avez mises.
Certes, il y en a d'autres qui l'ont fait, mais à lire votre profil, c'est surprenant d'agir ainsi.
Merci ANNA k mais je teins à souligner ici quant je parle de grandeur je parle de grandeur du philosophe et non de la grandeur en générale et ces critères se sont des critères entres nous philosophe qui veut rentrer dans l histoire de la philosophie doit suivre ces critères pour être dans la liste des Marx, Socrate, etc......
Merci ANNA k mais je teins à souligner ici quant je parle de grandeur je parle de grandeur du philosophe et non de la grandeur en générale et ces critères se sont des critères entres nous philosophe qui veut rentrer dans l histoire de la philosophie doit suivre ces critères pour être dans la liste des Marx, Socrate, etc......
C'est un essai intéressant, bien que d'un point de vue strictement philosophique, je n'adhère pas à plusieurs points :
- tout d'abord, le postulat de départ. Je pense comme vous que la grandeur a une dimension morale, or vous dites au début de votre texte que les hommes se réfèrent encore à ce modèle. Malheureusement, je n'en suis pas si sûre, on recherche le pouvoir, la postérité, mais pas la grandeur au sens où vous la décrivez, tout en étant rongé par la nostalgie du "grand homme", en politique surtout, cela vaudrait aussi pour la philosophie
- de plus, je doute que la grandeur, d'un point de vue méthodologique, puisse se définir par des critères objectifs. Mais je trouve votre définition intéressante.
On sent que le sujet vous tient à coeur en tous cas, et vous rendez une place honorable et un rôle à jouer au philosophe et à la philosophie en ce siècle de bureaucratie et de technique, vous montrez que la philo est par essence moderne, ce qui ne peut que me charmer.