La porcherie du monde submerge nos esprits d’informations désordonnées ; à chaque jour sa ration de rogatons et d’épluchures. « L’actualité » crépite dans l’infosphère, dissolvant l’essentiel dans l’insensé. La « prolifération » des connaissances accroît le nihilisme plutôt qu’elle n’enrichit. De là, peut-être, la fonction palliative ou régénératrice de la philosophie. À l’heure où le marché de la « pensée » tend à se répartit entre cavillations ontiques hors-sol sur la fistule ontologique de l’« Être-en-dette » et, d’autre part, vulgate bobo-lili finalisée au coaching personnel type « Petit déjeuner avec Socrate », il était temps pour nous de remettre pied à terre et le feu au landerneau. Place donc à la deuxième itération de Textures.
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Beaucoup de choses très philosophiques et vous nous aidez peu pour nous repérer,en abusant d'un lexique riche et "privé" et puis par ce format "scanné". Des développements aux quels je souscris vraiment, car le goût du paradoxe fait souvent avancer les pensées. Clairement je ne comprends pas tout.. l’ infini accès au savoir nous dépouille paradoxalement de notre réflexion la plus élémentaire.
Vive la philosophie !!
Ni fistule , ni bobo ;
http://www.monbestseller.com/manuscrit/le-sens-dune-presence-essai#.VUkfgfntlBc