1973. A 35 ans, Jeannine quitte la France pour Abidjan, rejoindre son mari avec ses deux enfants. En Côte-d’Ivoire, elle découvrira le racisme et la cruauté de l’homme.
1979, après son divorce, elle rentre à Paris. Femme trompée, déçue, mais toujours pleine d’idéaux.
1981, elle a 42 ans. Elle change de nationalité, de nom, de langue, de métier, mais reste la même, celle qui ne plie pas devant l’injustice, le mensonge et l’égoïsme. Si l’Afrique est une étape dans sa vie, elle sait qu’Israël est son destin…
Offensive et armée de second degré, Jeannine Avranche règle son compte à l’espèce humaine, celle aveugle, intolérante, hypocrite. A mi-chemin entre la critique sociale et le récit initiatique, son roman autobiographique alterne révolte et rencontres salvatrices. Une ouverture d’es
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@bazin viguier - merci infiniment pour ce beau commentaire. Je suis restée celle qui ne cède pas devant le faux, l'hypocrisie et à ce titre, très peu de gens me comprennent mais cela n'a pas d'importance car bientôt ma vie va se terminer et au moment de partir, mon seul souhait est de ne pas regretter ce que j'ai fait mais je dois reconnaître que quelque chose me poussait à agir ainsi et ma chance a été d'écouter cette voix qui me conseillait, cette voix qui dérange souvent mais qui ne se trompe jamais. Amicalement. Yaël
Ce livre ressemble à une chevauchée, une vie menée avec une belle ligne de conduite sans concession, on se sent "petit" après sa lecture tellement la force de caractère, la détermination, sont présentes tout au long de ces lignes que l'on dévore.
Une vie, une belle vie bien remplie, accomplie, une vie qui pourrait servir d'exemple, aujourd'hui et plus que jamais, où la valeur des choses et les mots ont perdus beaucoup de relief, de panâche, de vrai.
Marie Bazin
@Jeannine Avranche
A tous ceux qui ont lu mon livre, je signale qu'au début, il y avait une erreur car il ne comprenait que la première partie sur trois. Je viens de rajouter ce qui manquait.