Une musique poétique, dont par pudeur, je craignais le partage. Un griot, un conteur d’Amérique ou d’Europe, un théâtre japonais, un défilement de salle obscure, je n’ai cessé d’imaginer les déclinaisons de sa sincérité. Presque une chanson « litanique » qui nous rappelle à l’être cher. Au fond, j’ai tant aimé, humains. Pour cet amour perdu, si jeune. Parmi les affres, je ressens cette brise immuable. Heureux ! Alix
Publié le 05 Septembre 2021