Constantin Malheur
Présentation

Petit écrivain ou artisan de la plume et grand admirateur des Maîtres, j’ai une toute petite renommée sur mBS avec quelques « livres le + » à mon actif, sous différents pseudos ou mon patronyme : Confession de Rachid Blanchet (Rachid Blanchet), Coup de foudre sur mon Best Seller (Rachid Blanchet, avec Lamish), Thérapie du silence et autres nouvelles (Bruno Guennec), L’habitude des choses tristes (Ernesto Férié) et Mon coeur espère (Corine Messonique).
Dans la vraie vie, je suis professeur de français au collège depuis 31 ans, marié, père de 4 enfants et catholique croyant et pratiquant.
Pour moi, mBS est un atelier de pairs, un laboratoire, un lieu d’émulation où tester ses textes, affiner sa plume et pourquoi pas se faire connaître au-delà.

Mon 2e compte actuel : Corine Messonique

Constantin Malheur a noté ces livres

3
Merci, Pierre, je suis très touché. Vous savez, le poème "A" est toujours dans le recueil "mon coeur espère" et il est toujours précisé qu'il a été écrit en pensant à vous (à la suite de votre texte sur l'anarchie).
Publié le 17 Avril 2025
3
Hum, très intéressant ce texte. Le ton, très contenu, les personnages, il y a une vraie ambiance, un malaise et la chute est très bien préparée. Pour moi, le mobile est l’amour : elle rend service à son aimée en la débarrassant d’un casse-pieds. Le plaisir de lire votre langue la plus sobre et celui de l’histoire, du suspense se conjuguent très bien. Je recommande !
Publié le 16 Avril 2025
3
J'ai pris au pied de la lettre votre avertissement de la page 2 car je préfère en effet la route du pardon et ne me considère pas comme une "âme noire". Donc pas lu au-delà mais cependant sensible à la belle écriture, à la plume qui connaît la musique des mots, d'où les 3 coeurs (la recommandation, dirait Catarina) : ce n'est pas fréquent de trouver cette maîtrise ici, c'est même assez rare. Bravo.
Publié le 16 Avril 2025
3
Votre "Olivia" a atteint un degré de perfection remarquable. Je tente une hypothèse mais je ne sais pas ce que ça vaut : votre livre est peut-être trop parfait. Je veux dire qu'il pourrait s'étoffer, comme dans la vraie vie, de passages ennuyeux, moins intenses, où il se passe moins de choses, où la tension monte dans le quotidien : on est en attente et ça ne vient pas, mais on sent que quelque chose va venir. Façon "Le désert des tartares" ou n'importe quel roman d'une certaine ampleur. C'est déjà en partie là, certes, mais je trouve que c'est plus présent dans certaines de vos nouvelles (les plus longues, pas les très courtes). Vous savez dire le quotidien, l'épaisseur des choses, l'attente, la tendresse d'une heure qui passe sans que rien n'arrive. Je répète : je ne sais pas ce que vaut ce conseil. Mais j'ai l'impression qu'il faudrait réouvrir, redonner de l'air, de l'attente, des interstices, du raté. Oui, du raté en quelque sorte, du moins bon, de la liberté. P.S. : un modèle pour moi de composition narrative : L'appel de la forêt (d'autres romans d'aventure aussi). On passe de moments de haute intensité à des moments de basse intensité. Les montagnes russes. Bien sûr "Olivia" n'est pas un roman d'aventure. Mais il y a peut-être quelque chose à prendre là-dedans.
Publié le 16 Avril 2025
3
La charge est sévère en effet. Mais, heureusement, il y a le happy end. Un texte inhabituel, ce me semble. Seriez-vous en colère, St-Bleyras ? Un message à faire passer ? Evidemment, c'est très bien écrit (un "se" oublié devant "rassemblent" je crois). C'est fort, ça porte.
Publié le 15 Avril 2025

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