Corinne Le Gal
Présentation

Farenheit 451 de Ray Bradbury... Le livre et le film de Truffaut m’obsèdent encore au point que je lis et écris comme on suit un traitement préventif.
Un monde sans livres est un monde où je ne peux exister.
Selon mes humeurs, je me nourris des fictions d'auteurs de tout horizon du moment que l'écriture est maîtrisée ou je m'isole dans ma bulle pour créer mes propres histoires.

Corinne Le Gal a noté ces livres

3
@ Jérôme Nègre… Très beau témoignage qui a le mérite de nous faire aimer un peu plus à chaque page cette femme si commune et en même temps hors du commun. L’écriture est humoristique — la faute à l’auteur si j’en juge l’intitulé de son synopsis — et pudique à la fois, à l’inverse du sujet abordé. Bel hommage que vous faites à votre personnage en offrant l’intégralité de votre texte sur MBS. Merci.
Publié le 15 Juillet 2016
3
@katia campagne.... Excellent début de roman. Dommage que ce soit déjà terminé !
Publié le 09 Juillet 2016
3
@ Mel Pilguric… J’ai terminé votre splendide roman que j’ai lu d’une traite jusque tard hier soir tant l’histoire m’a passionnée. Votre écriture est d’une grande finesse, surtout la première partie. J’ai particulièrement apprécié votre connaissance et votre approche incroyablement lucide de la maladie mentale, mais surtout de l’autisme qui me bouleverse plus personnellement, tant il y a encore à comprendre de cette infirmité. C’est ce que j’appelle "une pépite" par le choix du sujet, la façon de le mener correctement jusqu’au dernier mot et le style de l’écriture. Il aurait été impensable que vous ne soyez pas récompensée d’avoir créé ce petit chef-d’œuvre. Je ne peux mettre que 5 étoiles et c’est bien dommage. A mon sens, vous en méritez beaucoup plus… PS : Je me permets juste de vous faire remarquer une erreur sans grande importance. Voyez-le comme l’on remarquerait une poussière blanche sur une tenue totalement noire. On l’ôterait d’une simple pichenette et on l’oublierait aussitôt. Page 305, vous avez écrit Béatrice au lieu d’Anne.
Publié le 30 Juin 2016
3
@Jean Claude Champeil... Que d’émotions ! Une remarquable histoire qui conte l’existence entière d’un Amour, de sa naissance à sa mort… de vieillesse ! Mort de vieillesse parce qu’aucune maladie, aucune souffrance, aucun accident. Une mort naturelle qui est survenue simplement parce que sa fin devait arriver. L’auteur a une connaissance de la condition humaine époustouflante. Son écriture est juste. Je sors de cette lecture réellement bouleversée. Noter un tel chef-d’œuvre de seulement 5 étoiles est presque irrévérencieux. Merci à vous Jean Claude Champeil.
Publié le 06 Juin 2016
3
Bonjour Fred Oberson… Belle écriture et pourtant tellement contradictoire… Mélange de prose stylistique et de langage familier. De même si le thème abordé semble être traité avec beaucoup de pudeur, certains passages flirtent avec la vulgarité. Ce qui rend l’ensemble très controversé. Je me suis surprise à compatir totalement au mal être du personnage devant l’invraisemblance des exigences et des enseignements donnés par l’Eglise et forcément, les doutes qu’elles suscitent en lui, mais pareillement, je l’ai parfois trouvé totalement immature. Au final, ce jeune séminariste ne m’a pas laissée indifférente. Merci d’avoir partagé votre œuvre.
Publié le 23 Mai 2016

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