Louis Benjamin

Très beau livre. J'en suis déjà à la page 47 et j'ai hâte de lire la suite. Merci monsieur Nekinga.

Bonjour, Je suis heureux que vous appréciiez la philosophie d’un de mes penseurs préféré, Épicure, que vous notez à 4 étoiles ! À noter qu’Épicure n’était pas végétalien. En témoigne cette demande à un ami dans une de ses lettres : « Envoies-moi un peu de fromage de chèvre pour que je puisse me faire plaisir à l’occasion. » Par ailleurs, vous dites qu’Épicure philosophait « seul ». Il philosophait tout de même beaucoup avec ses amis dans son jardin. Enfin, page 71, vous résumez sa doctrine, mais il y a une coquille. Là où est écrit « On peut supporter le bonheur », il faut lire « On peut supporter la souffrance facilement ». En tout cas, merci beaucoup pour votre livre, frais et léger, comme devait être la vie au temps d’Épicure dans son jardin. Bonne journée !

Bonjour Caroline, Je commence sur Amazon ton livre qui a l'air passionnant. N'hésite pas à regarder ma petite nouvelle : https://www.monbestseller.com/manuscrit/21316-etoile-filante que je viens de publier Ça se lit vite. Bonne journée ! ps : je viens de terminer ton livre. C'était très intéressant. C'est bizarre car malgré la lecture de ton livre, je ne comprends toujours pas pourquoi tu te prostituais plutôt que faire carrière dans un autre métier. peu importe. en tout cas, c'est une belle histoire. je suis heureux pour toi que tu te lances dans l'écriture et que tu aies arrêté ton addiction boulimique. je te souhaite plein de bonheur et de joie dans ta vie ! ps2 : Pour essayer de comprendre un peu plus ton parcours, j’ai lu qu’un psychanalyste disait : - L’amour, c’est ce que la prostituée refuse et pourtant c’est ce dont elle souffre au plus haut point. - L’amour, c’est la maladie inguérissable de la prostituée. - Chez toutes ces femmes existe une importante fragilité affective et une certaine immaturité. - Les traits dominants sont systématiquement « l’angoisse d’abandon, le rejet » - L’argent peut être perçu comme le moyen de faire payer aux hommes un dommage. - Les prostituées en veulent tout particulièrement et bien souvent à la mère. - En outre, l’angoisse d’abandon se lie à des comportements de dépendance Bref, suite aux propos de ce psy, j’ai l’impression de mieux comprendre ton ancien travail. Je le perçois comme un message envoyé à ton père décédé mais surtout à ta maman, encore en vie. Une façon de dire à ta maman : « tu vois, je suis une femme. Je suis féminine. La preuve : tous les hommes veulent coucher avec moi. » Le plus flagrant c’est que l’arrêt de ton travail correspond exactement avec ta réconciliation avec ta maman. Tu l’appelles à l’aide. Tu lui redemande de jouer son rôle de mère : aimer sa fille. Un autre message aussi est peut-être : « tu vois maman, il est possible de s’assumer financièrement et de ne pas dépendre d’un homme qui te bat ». Bref, je me trompe peut-être mais je dis que cela pourra peut-être aider d’autres lecteurs à mieux comprendre ton livre et ta vie.

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