Mary COUSIN

Ce petit texte plein de second degré, devrait en faire réfléchir plus d'un. Ce revirement de situation. N'est ce pas bien trouvé ? On rêverait pouvoir inverser les rôles de temps en temps, nous les femmes. Je ne suis pas sûr du contraire. C’était seulement un peu court, je n'ai pas eu le temps de finir d’essuyer la vaisselle !!! Bravo

Peine, joie, esprit sont présent dans ce recueil plaisant . J'ai passé un excellent moment de lecture avec tous vos personnages... Vous maniez la plume en cadence, donnant une belle musicalité à vos poèmes... ça se déguste comme des mignardises croustillantes accompagnées de bulles de champagne pétillantes à souhait (Ma préférée "Le peintre")

Comment ne pas aimer ce livre tellement fort et passer à côté d'un fait d'actualité, vivre dans la rue dignement malgré l’indifférent des gens. C’est un cri qui déchire le cœur et transperce les pages de votre roman. De la souffrance et de la haine, de l’amitié et de l’amour d’une sensualité inouïe, mélangées à de la vengeance, de la trahison puis aussi la peur et la mort ! Tout ça, raconté à un rythme effréné par des personnages attachants comme Pierrot qui nous captive pendant toute cette l'histoire poignante avec des dialogues pleins de franchise, de douceur et aussi d’humour qui en font une leçon de vie. Et puis, Saint-Christophe en l'Oisans, sa vallée du Vénéon et ses belles montagnes du Massif des Écrins, décrites avec un talent hors pair, chapitre qui contraste avec celui sur le peuple indien et sa géographie ! Bravo Daniel ! Encore une fois merci à vous, pour tous les Pierrots de nos rues et bonne fête de Noël à tous.

Comme vous, j’aime l’histoire et la vie de nos ancêtres, au sens large du mot, qui ne doit pas se diluer dans la grande Histoire. Vous nous parlez de votre grand-mère, avec beaucoup d'authenticité. Vous avez la sensibilité au bout de la plume et ça se ressent tout au long de cette histoire d'amour, née d’une rencontre touchante, beau résumé d'une vie émouvante et réaliste, au cœur d’une période de guerre ou tout n’était que haine ! On éprouve de la tristesse lors qu’arrive la dernière page. Comme toutes les belles histoires, on aimerait qu'il ne s'achève jamais.

Dans ce joli roman, votre héroïne est albinos. On sent que vous avait dû souffrir de la stigmatisation dont les albinos étaient victimes en Afrique. Votre récit s’attarde souvent sur les notions de tolérance et d’acceptation de la différence de l’autre. Vous questionnez l'humain, mais c’est aussi plein de charme et d’humour avec des références familiales fortes : le personnage d’ « El Dragon » serait bien l’image d’une mère ou d’une nounou ? C’est pour ça qu’on s’attache à vos personnages, vous nous les rendez familiers, eux qui à travers leurs différents caractères, nous content leur histoire. Félicitations ? Je mets 5 étoiles.