Mary COUSIN

Toutes mes félicitations pour ce témoignage poignant mais jamais larmoyant qui laisse entrevoir que vous avez non seulement l’âme d’une combattante voir d’une gagnante et pour preuve, ce prix de prix du concours d’écriture « Ma plus belle histoire – 2015 », mais aussi celle d’un jeune écrivain. En effet, votre plume est légère, fraiche, touchante et plein de finesse. Ce récit de l’itinéraire d’un enfant pas gâté du tout est passionnant. Il se lit d’un trait du début à la fin Quand j’ai lu que vous étiez au C.F.G.A Sainte-Thérése, j’ai demandé à cette jeune carmélite née près de chez-moi, qui a écrit « l’Histoire d'une âme », de vous protéger, ce qu’elle a peut-être déjà fait. Savez-vous que c’est le père Almire Pichon, natif de Carrouges comme moi, son directeur de conscience, qui est à l’origine des Centres comme celui de Drummondville avec son œuvre « Béthanie » que Céline, la sœur de Sainte Thérèse devait diriger. J’ai écrit un ouvrage qui en parle. En attendant, Bravo. Affectueusement. Mary

Je suis admirative de votre art de romancer les affections mentales, entre vraie folie et fausse normalité, avec autant de clairvoyance, de compassion, d'humanité, d’émotion, et même d’humour. C'est une histoire magnifique, superbement écrite. Votre touchant récit-journal- enquête, est émaillé de détails d’une justesse quasi-clinique qui nous entraînent indiciblement dans l’intimité de vos personnages d'une façon troublante et pudique. J'ai aimé Béatrice qui guide votre plume châtiée, aux mots justes. De même que je n’ai pas manqué faire des rapprochements entre les deux fines lames de la psychologie Anne et Sophie, sentimentalement perdues, ainsi qu’entre Serge et Gabriel, pleins de fragilité, de pudeur, d'humanité... Même chose pour le jeune autiste ou le jardinier. Ayant adoré la première partie, j'ai été frustrée par ce saut de 60 ans, que je fête bientôt d’ailleurs, mais je ne suis pas sûr que moi, je reparte pour une deuxième partie !!!.. Un grand roman jusqu’à l’épilogue. Bravo

Pas toujours évident d’écrire un roman à partir d’un fait réel, surtout quand le sujet concerne les délires schizophréniques du plus grand meurtrier des États-Unis que vous attribuez à l’influence démoniaque d’un ami imaginaire. Plus névrotique que psychologique, votre roman n'en est pas moins très divertissant. Bien que l’atmosphère y soit parfois irrespirable, vous savez nous tenir en haleine. Vous manipulez la plume bien aiguisée avec dextérité, l’écriture est fluide, très agréable à suivre. Je vous félicite !!!

Ce récit de votre Jenny se lit avec facilité comme un journal intime mais gagnerait à être bien ponctué et retravaillé: (beaucoup de répétitions). L’encre de votre plume coule avec fluidité pour nous rendre les personnages attachants. On peut aisément s’identifier à votre héroïne, comme à Sam qui, lui, n’a pas une famille ordinaire loin de là. J’ai pris plaisir à vous lire.

Vous m'avez filé la chair de poule et mis la larme à l'œil avec votre nouvelle, touchante douce et émouvante (surtout le 1er chapitre) sur un sujet amer. l’écriture sincère et réaliste sur fond de naïveté enfantine, ne laisse pas indifférent. Le titre est bon et reflète bien cet échange de mail avec son papa : un vrai bijou !... Je fais briller 5 étoiles pour cette petite nouvelle pleine d'originalité et de sensibilité. Mary