Mary COUSIN

Biographie

Mary COUSIN a noté ces livres

3
La mort de son conjoint représente probablement l’expérience la plus dévastatrice qu'on puisse connaître. J’ai partagé, page après page, jour après jour, votre douleur tout au long de votre « journal intime». Des pages pour dire sans concession ni illusion, la douleur, la détresse de se sentir coupés en deux, comme si l’on avait perdu une partie de soi-même. Des pages qui me sont apparues comme une ode à votre conjoint parti trop tôt, mais qui nous révèlent aussi que votre amour pour lui, demeure en vous, à tout jamais. Vous terminez avec un poème d’Aragon qui parle du passé, j’aime bien celui de Charles Péguy qui se termine ainsi : Pourquoi serais-je hors de ta pensée, simplement parce que je suis hors de ta vue ? Je t'attends. Je ne suis pas loin. Juste de l'autre côté du chemin. Tu vois, tout est bien. » Condoléance. Mary
Publié le 13 Décembre 2015
3
Bonjour Jean-Claude Marie. Bien que peu enclin à lire des pièces de théâtre de boulevard, en croisant vos commentaires à plusieurs reprises, j’ai été curieuse de découvrir votre univers et je n’ai pas été déçue : quelle imagination et quel humour ! J’ai apprécié, en plus de votre manière bien particulière de mettre en scène vos truculents personnages, la montée progressive du rythme l'intrigue qui nous emmène de surprise en surprise jusqu'au bouquet final ... Cordialement.
Publié le 12 Décembre 2015
3
Destiny, ton texte crie ta douleur et la meilleure façon de lui tordre le coup, c'est de la déposer sur le papier. Guérir les maux par les mots, nous sommes nombreux à en user. Alors n'hésite pas si tu as besoin de nous, en toute amitié.
Publié le 11 Décembre 2015
3
Le dico d’Alice au pays de Diotie, c’est une merveille. De l'humour, du second degré qui traite finalement des problèmes d’une société formatée, interactive de moins en moins humaine. Heureusement, votre plume, aiguisée à la source des maux, sait trouver les mots pour les décrire. Bravo
Publié le 11 Décembre 2015
2.4
Je viens de terminer votre histoire, Chère Estelle. La pauvreté, la dureté de la vie de paysan, les différences entre classe sociale, la beauté et la laideur, l'importance du regard sur soi par l’entremise du miroir, tout ça se retrouve dans ce joli conte. Pourtant je conclurai que les traits associés à la laideur dessinent en creux les critères de la beauté, mais « rien de plus culturel que la beauté physique ». Il n’y a qu’à voir la relativité des canons de beauté selon les époques. Regardez le tableau des Trois Grâces ou lisez le poème de Ronsard vantant la « divine corpulence » de sa belle. La fée de votre histoire, n’est-ce pas ce mal-être que vivent les jeunes filles à d’adolescence, quand leur corps change et ne correspond pas à leurs attentes ou à celles des critères de beauté de la société ultra portée sur le look d’aujourd’hui dont les média les rendent esclaves ? Vous m’avez fait me souvenir de cette époque de ma vie où telle une pierre précieuse enfermée dans sa gangue grossière, j’espérais mon découvreur : celui qui verrait le papillon dans la chrysalide. Mais il faut donner le temps au temps, comme pour votre nouvelle qui demande quelles corrections avant de se révéler dans toute sa splendeur
Publié le 10 Décembre 2015

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