@Christian BALLET. Je viens juste de fermé la dernière page , j’ai été avalée par votre délicieux roman. Page après page , le temps s’est envolé dans votre belle contrée en languissant sans cesse de la suite. J’ai gravis les montagnes avec votre pittoresques petit train jaune, toujours dans votre belle Cerdagne pour apparaître parmi toute ces ambiances . Je pouvait presque entendre la catalogne,ces personnages aussi complets que complexes comme si le village avait émergé dans ma chambre . La guerre, les cupidités,les fourberies, secrets de famille et au milieu de tout sa l’amour. Sébastien et Marie, un couple merveilleusement ficeler ou vous avez su leur donner toutes cette ambiguïté. J’ai adoré le métal rougeoyant dans le feu et coulant en jaune doré. on s’imaginait, les coups qui battaient l’enclume , les effluves entêtantes du fer qui se forme. Ces artisans que vous réussisaient encore à faire vivre à travers votre œuvre. Ceux qui ne méritent pas d’être oubliés. J’ai adoré votre suspens surprenant, préoccupant, cette vengeance qui nous agrippe de page en page, ces dialogues si familiers comme si vous les aviez entendus à votre oreille. Un chef d’œuvre qui mérite le cinéma, y croyait dure comme fer. Si je peut me permettre ce jeux de mot.
Je conclurais que peut être vous parlez plus avec votre cœur, votre musique naturelle qu’avec votre orthographe qui est souvent, pour moi même, une gageure dont il faut se tordre comme l’acier le plus dur à façonner. Il ralentit extrêmement le flux de nos pensées , déjà si difficile à toute les attraper et à les mettre dans l’ordre si vite, de peur que la magie disparaissent ,de les oublier et de se frustrer que c’était tellement bien. Il est tellement compliqué à comprendre, partout parsemé , de oui , ha ben non. Pourtant j’adore la beauté des poèmes, des textes anciens, classiques et modernes qui grâce à cette orthographe donne cette clarté et cette facilité de lectures. Je l’ai compris avec a la correction de mon livre chez monbestseller. Mon livre : Si les secrets ouvraient l’océan. Fantaisy.
Publié le 12 Novembre 2024