galodarsac

Biographie

D'aussi loin qu'il m'en souvienne, les lettres ont toujours tournoyé dans mon esprit. Dès l'école, on voyait en moi un futur écrivain.
Lors, d'où vient qu'avant la cinquantaine rien ne soit sorti de mon inspiration créatrice ?
L'adolescence a vu naître de ma main quelques contes naïfs, dont je souris aujourd'hui en me les remémorant, mais dont il ne subsiste, fort heureusement, nulle trace écrite. Plus tard quelques poèmes épars...
Et puis la vie m'a emporté ailleurs. Un métier scientifique, puis la vie de famille, puis la séparation, puis, puis, puis...
Et voici qu'à l'orée de mon dixième lustre, une rencontre littéraire a rallumé le feu.
Elle avait, comme moi, quelques œuvres en sommeil, et nous nous réveillâmes l'un l'autre. La machine était relancée, et rien ne l'arrêterait plus !

galodarsac a noté ces livres

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On retrouve en 2 pages l'atmosphère onirique et un brin décalée de Page 24 et quelques autres de vos œuvres, auxquelles ce court récit pourrait servir d'apéritif... Merci pour ce partage. Bien à vous, -Léon pas camé (mais qui devrait, d'après certains)
Publié le 29 Décembre 2024
3
Bravo pour ce récit original, se démarquant des légendes existantes sur le même sujet. La morale est sauve à la fin, même si, dans la réalité, elle peut sembler largement utopique... La conclusion sur l'authenticité des clous ne manque pas de saveur ! Cela dit, ce brave Jehudah n'est pas plus coupable qu'un autre, car ce sont les pécheurs de tous lieux et tous temps, et nous les premiers, qui ont forgé les clous du Jésus... Et loin de nous condamner à l'errance, il nous donne le chemin du Salut ! Merci pour ce récit vivant et hautement imagé dont tu as le secret. Bien à toi, Patrick
Publié le 29 Décembre 2024
3
Un récit aussi poignant que poétique, bravo !
Publié le 16 Décembre 2024
3
Et avec le collier de cœurs pour le cou de la belle !
Publié le 04 Décembre 2024
3
Eh bien voilà une histoire noire à souhait ! Bravo pour ce récit d'où émane une atmosphère oppressante et tragique. On suit Arsène dans ses découvertes traumatisantes et dans sa "tempête sous un crâne" que n'aurait pas reniée Hugo. Je ne verrai plus Callac de la même façon (je connais bien cette bourgade où vit une partie de ma famille... et particulièrement son café-bazar, même si le taulier ne s'appelle pas Arsène :). Merci pour ce partafe. Bien à vous -LGA
Publié le 04 Novembre 2024

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