
Une famille aimante, une meilleure amie, une vie divisée entre l'école et les jeux de la campagne... Tout semble normal dans la vie de cette petite fille. Et pourtant, il y a ce malaise, persistant, infranchissable, qui l'empoigne dès qu'elle est avec les autres. Comme un mur qui la sépare du reste du monde, et qui ne cessera de grandir en même temps qu'elle...
Comment se construire quand on est différent et que l'on ne sait pas pourquoi ? Comment trouver sa voie lorsqu'on ignore qui l'on est ? Quel est le moyen de détruire ce mur, ou de le contourner ?
Ce récit est celui d'une jeunesse en déséquilibre, et d'une errance diagnostic.
@Holly SUE : Merci. Je suis bien certaine qu'être parent d'un enfant différent est aussi difficile, et que vous faites de votre mieux. En tout cas, si ça a pu vous aider, j'en suis heureuse.
@Olga Kolesnikovski : Merci beaucoup, ça me fait plaisir, ça n'est pas toujours simple de se replonger dans nos ressentis, et je suis heureuse que pour vous, ça a été réussi.
Je réalise que finalement, ce que je décris est plus universel que ce que je craignais, et je suis heureuse de le constater. TSA ou pas, avec une "atypie" ou pas, finalement, on est tous susceptibles de connaitre certaines expériences communes... C'est sans doute ce que j'aime dans les témoignages en général, pour moi, c'est comme une conversation intime, une façon de réaliser qu'en tant qu'humains, nous avons tous des émotions et des expériences communes, malgré nos différences et nos parcours parfois opposés. Je trouve ça beau.
@Mika_ : Merci beaucoup, tous mes vœux d'épanouissement pour votre frère.
J'ai tout de suite reconnu mon petit frère à travers votre témoignage. Je suis extrêmement touché par votre parcours. Je vous souhaite beaucoup de reussite !
On peut parfois se surprendre à se reocnnaitre dans ce témoignage. En tout cas il est utile ...
Bonjour Prescillia,
Merci beaucoup pour votre retour ! Je suis vraiment touchée par votre réceptivité et votre envie d’améliorer encore votre récit. Concernant les répétitions, ce sont surtout celles qui reviennent autour de l’angoisse liée aux objets du quotidien et aux sensations physiques qui, à certains moments, créent une impression de redite. Peut-être pourriez-vous alléger ou varier certains passages sur ces peurs pour maintenir l'attention du lecteur, tout en conservant la force de ces descriptions qui font la singularité de votre récit.
Je comprends bien que ce genre de témoignage se veut intense, et c’est d’ailleurs ce qui le rend si poignant. Une petite pause narrative, de temps à autre, pourrait cependant apporter un contraste bienvenu sans perdre en profondeur.
Je vous encourage vivement à continuer dans cette voie. Votre texte est déjà très puissant, et avec quelques ajustements, il deviendra encore plus fluide. Merci de votre ouverture à la critique, c’est une belle qualité d’écrivain.
Au plaisir de vous relire très bientôt !
@ALICE HOUAN
Merci beaucoup pour votre commentaire ! Vous mettez le doigt sur ce que j'ai toujours vu comme la principale limite de l'écriture de son parcours, et par ricochet celle de mon livre : en effet, j'ai conscience que ce n'est pas une lecture facile, et je comprends qu'on puisse avoir besoin de respirer.
Si vous vous souvenez de répétitions, ça m'intéresserait de savoir lesquelles vous avez remarqué, ainsi, je pourrais peut-être faire en sorte que le produit fini soit encore mieux. C'est pour cela aussi que j'avais envie de publier mon petit récit ici, pour avoir des conseils pour l'améliorer.
En tout cas, je suis contente de savoir que vous l'avez trouvé touchant et intéressant, et surtout, que vous avez pris le temps de me faire part de vos ressentis de manière si détaillée et enrichissante. Merci à vous !
@Agostini Francois-Xavier
Merci beaucoup. Vous avez une perspective intéressante, en effet, peut-être que c'est plutôt ce sentiment accru de savoir qui l'on est, et qui l'on est pas, qui nous fait parfois nous sentir étranger. En tout cas, je m'efforce aujourd'hui de vivre bien, vivre mieux, plus libre qu'auparavant, et de réaliser mes projets.
Quant au fait d'être auteure libre, en effet, c'était très important pour moi, surtout pour Le Mur. Je voulais publier ce récit en indépendance, car je voulais que ces mots restent les miens, entièrement et totalement, et ce site est une immense chance ! Merci à vous.
@Valérie Pison2
Merci à vous. Quand j'ai écrit ce livre, j'avais deux objectifs : l'un thérapeutique, et l'autre, d'apporter ma petite pierre à l'édifice immense qu'est la compréhension des TSA. Aussi, si j'ai pu vous apporter quelque chose dans votre beau métier, j'en suis ravie.
@Isabelle Lestine Merci beaucoup pour votre commentaire, je peine à y apporter une réponse satisfaisante tant il me parait beau, et cela me fait très plaisir. Je craignais de ne pas savoir équilibrer mon écriture pour que la lecture ne soit pas trop pénible, je suis heureuse de savoir que pour vous, ça n'a pas été le cas. Merci
@Ange-Francois
Merci beaucoup pour votre retour. Ca me fait vraiment plaisir.
@Nina Martins
Merci pour vos conseils d'édition, je recherchais précisément de quoi améliorer mon récit et vous m'avez permis de mettre le doigt sur quelque chose à laquelle je n'avais pas pensé. J'en tiendrais compte pour ma publication finale.
Merci beaucoup, également, pour vos mots encourageants.
Je m'appelle Prescillia, j'ai 28 ans, et je suis auteure indépendante. Je recherche ici un moyen de faire connaitre mon travail mais...
"Le Mur" est le "Livre le +" du 4 octobre. Retrouvez l'article qui vous donnera envie de le lire. N'oubliez pas de laisser un commentaire à Prescillia Marande, c’est pour cela qu'elle publie son témoignage sur monBestSeller.