C’est un tendre poème à l’amour, plein de chagrin et d’abandon. Qui révèle une jolie sensibilité à amener son lecteur à s’émouvoir aux mots et à leurs non-dits cachés, mais si bien suggérés.

C’est le récit d’un observateur méticuleux de la société, la photo d’instants volés, que seul un réel écrivain est capable de retraduire avec une sobriété de mots. C’est un témoignage plein de lucidité, qui évoque chez le lecteur ses propres souvenirs en pareille situation. En tout cas, c'est mon cas ! Il y en a à toutes les pages, on se régale. (ça m’a évoqué « l’homme qui aimait les femmes ») Bravo le talent !

Je viens de comprendre pourquoi je ne porte que des chemises blanches button down Brooks ! Merci ! (merci aussi pour les autres mots, assez acidulés, tout en retenues, ceux d'un amoureux des non dits et des femmes pas que savantes)

Nul doute que vous êtes scientifique !! ça se lit à toutes les lignes… et ce n’est pas déplaisant, bien au contraire, de plonger dans un univers inconnu. Quant à l’intrigue, elle est digne de ces grands bestsellers d’espionnage industriel mondial dont sont friands les séries US.

Erotique ET suspense thriller. ET « assez monstrueux ». Raconter dans le détail les crimes sexuels des serial killers ne peut évidemment pas être autrement qu’atroce. A la lecture, je me demandais si c’était nécessaire, ces détails macabres, pour votre récit, pour l’enquête de Sarah, la profiler, minutieuse, pour dire la montée du désir de Faith, l’inspectrice sous le charme. Et après 200 p, je ne sais toujours pas !