T.Guenard

T.Guenard a noté ces livres

2.01
Des paroles déroutantes car parfois poétiques et parfois vulgaires. Les mots enculer, bites, fions sont des mots qui ont pris place dans votre récit. Une vulgarité qui ne m'a pas vraiment choqué ou pas vraiment dérangé mais plutôt amusé. Pourtant je déteste la vulgarité. J'ai dû aimer votre manière directe de dire les choses, vous n'allez pas avec le dos de la cuillère pour dire ce que vous pensez et puis le fait que ces mots soient au milieu de mots poétiques, la pilule a dû être plus facile à avaler. Vous utilisez des mots propos politiquement incorrects ou bannis en tout cas dans un certain milieu. Le mot "pédé' est par exemple perçu comme un mot que peut utiliser un homophobe. Après j'ai aimé votre liberté de parole . Puis certaines de vos expressions m'ont amusé: "Il bande le taureau".
Publié le 04 Septembre 2024
2.4
La pauvre narratrice, elle broie du noir et elle en voit des vertes et des pas mûrs! En tout cas je la trouve vraiment attachante et vraiment adorable d'aimer à ce point son mari défunt et de ne pas l'oublier ! En tout cas j'ai bien apprécié votre roman et le romantisme de votre narratrice, j'ai trouvé cela chouette de se replonger dans le déroulement de leur rencontre à elle et son mari et de leur belle histoire d'amour.
Publié le 30 Mars 2024
2.4
J'ai eu un coup de coeur pour le narrateur que j'ai trouvé modeste, authentique, humain, courageux, fantaisiste, il m'a donné envie de lire votre livre. Je ne suis qu'au début de votre roman mais en tout cas pour l'instant je suis enthousiaste. Je me demande et espère qu'il y aura une fin heureuse pour cette famille recomposée. .
Publié le 27 Septembre 2023
2.4
Pauvre femme qui doit faire le dos rond toute la journée et qui subit les affronts, les goujateries et les méchancetés de son boss toute la journée. J'ai tout de suite ressenti de l'empathie pour cette femme car il m'a rendu chèvre à plusieurs reprises rien qu'en lisant ces paroles misérables. Il faut avoir les nerfs solides pour supporter les commérages d'un goujat et d'un serpent de cette nature. D'ailleurs cela m'a fait rire de lire cela, elle ne mâche pas ses mots quand elle parle de son boss la narratrice. Page 13 : «  je te parie tout ce que tu veux qu’une armée de rats d’égouts sous alimentés ne voudraient même pas de sa chair faisandée ». Sinon rien à redire au niveau de l'expression écrite, la narratrice utilise des images percutantes, drôles car bien vues. Je n'en suis qu'au début, j'ai envie de lire la suite, j'espère qu'elle va trouver l'homme de sa vie.
Publié le 11 Août 2023
2.4
J'ai trouvé votre récit vraiment dépaysant et frais, il m'a tout de suite attiré dès le début. Déjà rien que le titre m'a tout de suite plu tellement il est évocateur. Puis moi je suis de la vieille école donc rien qu'imaginer une vie de village où tout le monde se connait, où les professeurs sont vraiment respectés, cela ne peut que me plaire. Puis revenir dans des lieux chargés en émotion comme des maisons car on y a vécu des années, j'imagine la nostalgie et cela me parle aussi. Puis le narrateur a un regard très humain par rapport aux êtres humains et aux choses qui l'entourent. Il a une vision intéressante et pertinente sur la souffrance, le sens qu'on peut lui donner et le fait qu'on peut en faire une expression artistique qui peut permettre de se soigner. L'expression artistique d'une souffrance peut être à juste titre un garde fou et peut permettre de lutter contre la violence faite à autrui. .
Publié le 12 Mars 2023

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