Victime à vie, c'était le diagnostic que j'avais posé sur mon avenir. La psychanalyse m'avait sauvée de la folie, la pratique du théâtre m'avait appris les codes pour évoluer parmi mes semblables mais il restait à trouver la cause cachée de ce mal de vivre qui me rongeait. C'est l'histoire d'un combat que j'ai voulu mener jusqu'à la victoire malgré un passé composé de désespérances.
Ce livre est noté par
Chère Staniski.
J'ai compris que les mots soignent et libèrent. Avec votre récit, vous passez votre plume. Ecrire, pourquoi pas.
Bien à vous.
@IWAD Merci beaucoup. Que mon témoignage ait été libérateur pour vous me fait très plaisir parce que vous devez vous sentir mieux. A quand votre témoignage à vous ? Le fait d'écrire ses ressentis libère aussi. Portez-vous bien.
Un grand bravo. J'ai aimé le livre. Il est passionant à lire. Etre résilent, capacité à résister face à la souffrance de la vie. J'ai beaucoup appris. La lecture du livre a été libérateur.
Bonne continuation. Bien à vous.
@Staniski
J'adore votre réponse, comme un petit prolongement de votre livre rien que pour moi !
Pour ma part, je n'ai vu en vous lisant aucune "limite à votre intellect", et j'apprécie donc votre délicatesse : si vous n'avez pu finir mes textes c'est tout simplement parce que JE n'ai pas su être suffisamment clair.
Mon récit le plus ludique est sans doute "Passion et flétrissures", sorte d'éducation sentimentale d'un incorrigible amoureux.
(Ou, si vous préférez du court et un peu trash, mon petit recueil de "Fables très culottées").
En espérant vous voir reprendre la plume dès que possible,
Bien à vous
@Philippe Ribagnac, comment vous dire ? L'éloge que vous m'accordez fait frétiller mon ego que, pour une fois, je laisse gonfler, c'est trop jouissif ! En publiant ce texte, j'espérais des résonances chez les lecteurs mais pas une telle reconnaissance de la part de quelqu'un d'aussi érudit que vous. Car, il y a quelques temps j'ai sélectionné 2 de vos livres : l'homme qui ne voulut pas mourir idiot et nec plus ultra dont les sujets sont passionnants ; mais je me suis heurtée aux limites de mon intellect et n'ai pas pu aller au bout de ces lectures. Dommage ! Je suis persuadée que le rôle de Pygmalion vous aurait été comme un gant et vous m'auriez fait vivre de grands moments. Je vous remercie de votre lecture attentive qui me permet de corriger les coquilles. Et j'ose vous demander de me conseiller un de vos livres qui soit à ma portée, je me ferai un plaisir de le commenter humblement. Bien à vous.
@Maurice Crozet
C'est très gentil à vous de m'avoir fait ce retour plus détaillé. Finalement, mes tourments m'auront enseigné que la vie est une expérience merveilleuse paradoxalement. Je crois que chaque être a en lui des ressources insoupçonnées.
A bientôt pour mon retour sur votre livre.
@Sophia Desliet
Quelques jours avant que vous ne postiez le commentaire, j'ai sélectionné votre livre pour ma bibliothèque, que je compte lire prochainement.
Merci pour votre retour qui me touche beaucoup. Je ne sais pas si c'est du courage de m'être battue de cette façon. J'ai toujours eu besoin de comprendre le fond des choses car chaque "chose" a sa raison d'être, il n'y a pas de hasard.
A bientôt pour un commentaire sur votre livre.
@staniski. Merci et très touchée que mon roman vous ait plu. J'ai eu besoin d'écrire cette histoire pour enfin remiser certains pans de ma vie et prendre de la distance. Mes personnages sont inspirés de certaines rencontres et d'autres sont sortis de mon imagination... c'est le propre d'un roman, celui de mêler ce qui est et ce qui aurait pu être .
A bien tôt pour d'autres lectures.
C'est assez rare, les textes autobiographiques sans complaisance.
Quel courage de votre part et quelle sévérité ! Vous ne vous faites pas de cadeaux.
Mais votre introspection et le récit de votre quête incessante pour échapper au Mal de Vivre (j'ai pensé à la très belle chanson de Barbara) trouvent leur récompense , semble-t-il.
Dans les dernières pages, l'apaisement, enfin !
@Staniski
Votre témoignage m'a beaucoup intéressé, car votre vie a été à peu près à l'opposé de la mienne, presque toujours favorable, sans que mes qualités propres (je dois bien en avoir quelques-unes, comme tout le monde) soient supérieures aux vôtres. Ce qui m'a frappé, c'est que malgré vos déceptions, vos errements, vos dépressions, vous ne vous avouez jamais vaincue, et trouvez toujours le moyen d'émerger, de reprendre goût à la vie. Il y a en vous des ressources peut-être insoupçonnées qui, je vous le souhaite, vous permettront de passer une vieillesse heureuse. A bientôt peut-être.
@Maurice Crozet
Merci d'avoir lu mon témoignage. Je suis allée voir votre profil. Je ne manquerai pas de vous lire.
@Neven
Merci pour ce retour. Ça me fait du bien de constater que mon témoignage résonne quelque part. En ce moment je relis l'Interprétation des rêves de Pierre Daco car j'en fait beaucoup depuis l'arrêt du cannabis et je les écris. Je lis aussi Plaidoyer pour le bonheur de Matthieu Ricard qui nous guide aussi vers l'essentiel. Je vais évidemment vous lire et je vous ferai un retour. Bien à vous.
Bravo pour ce cheminement qui vous a permis de vous trouver. Comme beaucoup je pense, je me suis reconnue dans votre parcours : des valises lourdes à porter qu'il est essentiel de vider si l'on veut survivre. Nous partageons les mêmes lectures (Stéphane Alix, Fréderic Lenoir, Paolo Coelho, etc...) qui m'ont beaucoup aidée à aller vers l'essentiel.
Je viens de publier "Orphelins" sous le nom de Neven où j'ai puisé dans mon vécu pour construire ce roman. Peut être aurez-vous envie de vous y plonger ?
@ISA M
Merci de me comparer à une fleur qui s'ouvre, c'est une jolie métaphore. Je vois que mon parcours a raisonné chez vous et c'est émouvant. Merci encore. Bien à vous.
@JUliette D
Un grand merci pour ce retour Juliette. Ce que vous dites me touche beaucoup. Effectivement, il n'est jamais trop tard pour comprendre qui on est, pour s'apprivoiser et reconnaître l'essentiel. Bien à vous.
@staniski
Comme "une fleur qui s'ouvre" l'auteur nous dévoile son intime au travers des différentes chemins explorés. La psychanalyse n'a pas été d'un grand secours et ce sont ses propres ressouces enfuies qui vont lui permettre de "percevoir la lumière". Car oui, ce texte donne de l'espérance pour qui sait chercher. Il n'est jamais trop tard et la rencontre du corps est la plus belle des rencontres ! L'auteur se découvre, s'ouvre et des relations se mettent place. Finalement peu importe la cause de son mal-être ( elle a longtemps cherché. ..) Car seul compte la conscience du moment présent. ..