Bonsoir @Stog. Votre roman court m'a permis de ne pas voir passer le temps du voyage de retour de ce week-end. Merci pour cela… /// Les évocations d'une époque si différente et pourtant si proche de la nôtre m'ont doublement touchée. Pour les réminiscences de la vie de mes aïeux qu'elles ont suscité d'abord ; pour ce goût amer qu'elles m'ont laissé ensuite, car trois générations seulement auront suffi pour qu’une grande majorité de nos congénères perde le sens des valeurs nobles qui animaient nos ascendants. Mais foin de pessimisme, car ce n’est pas le cas des jeunes protagonistes de votre histoire. /// J'ai donc beaucoup apprécié cette saga familiale, ses rebondissements, ses casualités, ses improbabilités, ses étrangetés, tout comme cette fin que vous nous servez, tel un hymne à l’attirance irrépressible entre les êtres, tel un magnifique pied de nez à la morosité ambiante. Il me semble avoir déjà lu une rencontre “écrite” de ce type sous votre plume, d’ailleurs… À croire que vous les aimez, tout comme moi ;-). /// Mille mercis pour ce beau partage. Amicalement, Michèle
Bonjour @ Annie Pic. Merci pour votre commentaire, et surtout de m'avoir lu, vous qui ne faites habituellement pas dans le retro, mais plutôt dans la projection vers l'avant.
Bonjour Stog /
Votre texte révèle une écriture maîtrisée qui décrit avec brio l'ambiance d'une époque quelque peu surannée.
À travers la plume de son aïeule fraîchement débarquée au Canada, Mathieu découvre le parcours émouvant de ses grands-parents et leur lutte incessante contre l'adversité.
Ce qui l'amènera sur la terre de ses ancêtres où il découvrira la saga familiale sur fond de vendetta. Mais la suite de hasards heureux clôturera avec panache le périple de Mathieu.
Comme le souligne Alix Cordouan, on ne peut rester indifférent à la lecture de cette belle histoire.
Bonjour@Alix Cordouan. Votre commentaire m’a fait chaud au cœur. Désolé du retard que j’ai pris à vous répondre. J’avais un peu oublié ce récit, et ce que vous avez noté, concernant le personnage de la grand-mère, est le passage du roman qui révèle le plus le non-dit d’un thème abordé presque inconsciemment. Un coup d’épée virtuel dans l’eau qui nous baigne de-ci de-là, cahin caha. Encore une fois merci.
@Stog
Pour un citadin, les premières pages de votre texte sont un vrai dépaysement. Les superbes descriptions de la nature et du travail respirent une telle authenticité que l’on se sent transporté sur le vieux tracteur dans l’air glacé du matin sur les collines du Témiscamingue. Au-delà de la quête émouvante des origines à travers l’espace et le temps, j’ai été frappé par les extraits du roman de la grand-mère issue d’une grande famille : « Je suis d’un monde qui ne se vit pas, il s’écrit, il se conceptualise et se surestime ». Cette femme s’éprend de son contraire, un homme au corps façonné par le labeur, mais elle a besoin de cette authenticité.
Je n’ai pu m’empêcher de faire le parallèle avec notre époque où une partie de notre société baigne dans le virtuel alors que l’autre affronte « la vraie vie ».
Je recommande fortement la lecture de cette histoire qui, à bien des titres, ne peut laisser indifférent.
Merci pour ce partage.
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Bonjour@Zoé Florent. Merci Michèle pour vos mots d'encouragement, ils me touchent. Et, merci pour le coup de pouce ; )
Bonjour @ Annie Pic. Merci pour votre commentaire, et surtout de m'avoir lu, vous qui ne faites habituellement pas dans le retro, mais plutôt dans la projection vers l'avant.
Bonjour@Alix Cordouan. Votre commentaire m’a fait chaud au cœur. Désolé du retard que j’ai pris à vous répondre. J’avais un peu oublié ce récit, et ce que vous avez noté, concernant le personnage de la grand-mère, est le passage du roman qui révèle le plus le non-dit d’un thème abordé presque inconsciemment. Un coup d’épée virtuel dans l’eau qui nous baigne de-ci de-là, cahin caha. Encore une fois merci.