Un amour au Gabon, ou la fille au balcon

@Marion Borais et @Pascal S. Merci pour vos commentaires. En effet, j'essaie de rentrer dans la réalité vécue, de mettre en valeur les divers conflits psychologiques, d'expliquer leurs raisons. Le choix de l'Afrique peut paraître étonnant mais je me suis en partie inspiré de faits vécus, à la base du moins, car j'ai ensuite laissé libre cours à mon imagination. La fille au balcon a réellement existé, même si je ne connais en vrai ni son nom ni son prénom, j'aimerais bien qu'elle lise un jour cette histoire que j'ai bâtie sur son souvenir, mais cela paraît peu probable malheureusement. Elle était très présente à son balcon. Quand je vois tous les balcons en France, où n'apparaît et ne stationne jamais la moindre jeune fille, je me dis qu'elle avait quelque chose d’exceptionnel. Il faut dire qu'elle était servie par des conditions culturelles et géographiques peu ordinaires. Ce devait être tout à fait fascinant pour une jeune fille européenne de voir de si près toute cette Afrique étonnante à ses pieds.

C’est sûr que c’est un âge difficile. Et pas uniquement pour les pensionnaires. Je ne suis pas la lectrice idéale pour votre livre plein de bonnes intentions et je ne sais pas si les jeunes que vous mettez en scène lisent encore. En tout cas pas lies miens. Mais j’ai apprécié cette manière de raconter, qui prend son temps, descriptive que ce soit de ce que l’on voit ou ce que l’on ressent.