Les grosses têtes d’RTL citent souvent Sacha Guitry ou Pierre Dac ou Michel Audiard ou Jacques Prévert ou tant d’autres encore… Ils pourraient peut-être maintenant intégrer Anthony Valber.
Des bons mots…
La vie nous sourit quand on lui sourit. Et quand on lui fait la gueule, elle sourit à un autre.
Vie la perfection pour atteindre au moins l’excellence.
La raison finit par avoir du cœur, quand le cœur reconnait enfin ses erreurs.
…
Un auteur qui aime l'art et les mots autant dans leurs finesses que dans leurs savoureuses brutalités attractives.
@Anthony Valber Merci pour vos bons mots avec lesquels j'ai souvent été en phase. J'aime la simplicité et la justesse de vos fulgurances...
Permettre cet échange entre auteurs et lecteurs, c’est la raison de monBestSeller.
@Tomoe Gozen Et la marmotte :-)...
@Zoé Florent
C'est drôle, je n'ai pas souvenir de vous avoir jamais adressé la parole. De toute façon, si mes commentaires vous lassent, pourquoi donc vous contraignez-vous à les lire ? Seriez-vous masochiste, en plus d'être Haut-Savoyarde ? Décidément, d'aucuns naissent avec la guigne !
@Tomoe Gozen Si, "dommage" à mes yeux itou.
Comme toujours depuis que vous avez jeté votre dévolu sur ce site (et sélectionné quelques têtes de Turc dont je fais partie), votre propos pèse par son irrespect et ses notes philistines.
Le "gros bourin", qui conclut votre premier commentaire, traduit votre manque de finesse, tandis que les réponses de @Anthony Valber démontrent que si grossièreté et vulgarité il y a, ce n'est certainement pas de son fait. Tout ceci est bien maladroit, puisque, au final, vous valorisez ceux que vous cherchez à descendre.
Oui, bien dommage, tout ça... Dommage, trop réchauffé et, par voie de conséquence, excessivement lassant (profond bâillement ;-))...
Amicalement,
Michèle
@Thierry Rucquois
Dommage ? Et pourquoi ça ? Après tout, tous les conseils ne sont pas bons à suivre...
Bien que le débat soit légitime, je trouve un peu dommage ce genre de commentaire sur une page "conseil de lecture".
A ce titre, ne serait-il pas plus judicieux d'écrire un sujet sur la vulgarité et la littérature? Qu'on aime ou qu'on aime pas, il y a matière à redire sur les ouvrages de certains auteurs. Pour n'en citer qu'un, je pense au livre "les armoires vides" d'Annie Ernaux qui à l'époque, m'avait laissé un goût mitigé.
PS: tès jolie la formule, la vulgarité est une maladie de l'âme...
Amicalement :)
Bonjour cher @Frankie Addams
La nature de l'Homme est irrémédiablement tortueuse, dire le contraire serait soit mentir à soi-même, soit être atteint de cette tortuosité, cette pathologie dirai-je même. Toutefois, sachez que cela n'enlève en rien le fait qu'il (: l'Homme) dispose aussi d'une grandeur d'âme et d'une dignité qui le rend unique à toutes espèces vivantes ou entités spirituelles (si l'on s'en conçoit à une croyance quelle qu'elle soit). Il y a une différence entre mépriser les hommes ou être dérouté de leurs actions, finalement communes à tous à bien y voir.
La passion est par définition une souffrance, un débordement du genre humain tenté à vouloir s'extraire de la forteresse de ses inhibitions. Mon objectif étant donc d'aller vers cet excès viscéral entravé par le pudibond. D'explorer en tout état de cause son côté sombre sans pour autant m'émanciper d'une réalité partagé entre la lumière et les ténèbres, et dans lesquels nous sommes tous enfouis à travers cette lutte interminable.
Cela dit, il s'agit d'un thème évoqué parmi bien d'autres que j'ai voulu explorer et dont j'ai voulu enquêter ça et là. Se limiter juste à ce thème en voulant y décrire des expériences factuelles qui, je pense, ont toujours été de la sorte car l'homme et homme, serait un peu dur d'estimer l'auteur comme souffrant d'une maladie d'âme ou de manque d'élévation.
Est-ce que évoquer le mal de la sorte ferait de l'interlocuteur une personne forcément malade en son fond ou alors foncièrement belliqueuse à force qu'il aborde ce registre ? ... Je ne pense pas.
Alors, certes la manière peut prêter à débattre parce que la sensibilité n'est pas partagée et que chacun perçoit les choses autrement, je le conçois, mais là encore, ce fut volontaire.
Ce fut un authentique plaisir ce partage de points de vue.
Amicalement. ;)
@Anthony Valber
Vous faites, je crois, l'erreur assez commune de confondre la grossièreté, qui est un registre de langue, et la vulgarité, qui est une maladie de l'âme. Le langage populaire que vous invoquez peut sans doute être souvent grossier, mais il n'est pas nécessairement vulgaire, la vulgarité se signalant par un manque d'élévation, de distinction.
Quant à l'image que vous semblez vous faire des hommes...
Merci pour votre avis @Frankie Addams :)
La passion n'est pas seulement une émotion qui se livre uniquement dans sa beauté imagée de la rose (si c'est ce que vous avez toutefois cherché à y trouver à travers ces mots), son étymologie signifiant "souffrance" - et je ne pense pas vous l'apprendre, au demeurant - déploie aussi une débauche en tous sens et c'est aussi cet aspect-là que j'ai voulu traduire tout en assumant ce côté brut, voire vulgaire (en plus d'y faire mention d'expériences personnelles).
Sachez que j'ai cherché à me placer avant tout dans un langage populaire et accessible, et non seulement dans un style que j'aurais pu être à même de rendre plus fin jusqu'à toucher du doigt le littéraire, baigné alors dans des citations infiniment plus subtiles aux interprétations et interactions infinies. Or, c'est aussi ça la passion, le beau et.... indubitablement, le moins beau dans son intensité.
Dommage que vous n'ayez retenu que le moins beau. Cela dit, je peux vous comprendre. Ma volonté était peut-être aussi d'apporter plus d'ampleur à la passion dans son aspect vile, grossier, voire rebutant ? D'outrager la symbolique poétique à son état le plus bas dans lequel se consument et se consumeront tous les hommes ? Possible, oui...
Merci de m'avoir précieusement accordé votre temps, même si il a été, j'imagine, très court. Lol.
Amicalement. :)
Vos mots, en tout cas ceux de votre premier volume (et je n'enquêterai pas plus loin), ne sont bons que parce que vous le dites. Je les trouve, pour ma part, et pour la plupart, d'une vulgarité sans nom. "Savoureuses brutalités attractives" ? Vous rêvez, mon cher ; "répulsives" serait plus exact. Car vos mots, pardonnez-moi, sont d'un gros bourrin.