La malédiction du Hard rock Français

79 pages de TIT'S
La malédiction du Hard rock Français TIT'S
Synopsis

Pourquoi le Hard rock Français n'arrive toujours pas à percer à l'international. L'auteur ne donne pas la recette miracle mais expose aux travers de ses expériences et de ses témoignages les raisons pour lesquelles la situation reste toujours bloquée malgré les compétences créatives des artistes de ce pays.

Publié le 25 Janvier 2018

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6 commentaires , 3 notes
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Je serais curieux de savoir quelle terrible malédiction a frappé le hard rock made in France. Est-il possible de rebrancher la lecture de ce brûlot métalleux ? Merci.

Publié le 23 Mai 2023
1.2
Au début j'ai accroché car c'est un peu dans mes idées, les faiseurs de musique, maisons de disques, etc... ne croyaient qu'aux auteurs de variétoche que la télé nous passait en boucle dans les années 60-80. Et pendant ce temps-là les anglo-saxons faisaient LA musique. C'était dommage, car beaucoup de jeunes français (en particulier dans les DOM) "touchaient" d'un instrument. Quel gâchis ! Bref j'espérais apprendre quelque chose, pourquoi ce retard des Français. Mais le livre n'est juste qu'un coup de gueule décousu du début à la fin. Il a peut-être fait du bien à l'auteur mais il n'apporte malheureusement rien au lecteur...
Publié le 08 Août 2020

@Gilles PREVEL
Merci. Oui concernant le rap vous avez raison, d'ailleurs je souscrit à votre analyse sur l'ensemble de vos commentaires. Et puis finalement, ce n'est juste que du rock and roll
Cordialement

Publié le 30 Mars 2018
3
Un récit, entre le coup de gueule et le coup de blues. De l'humour, de la hargne et de la rancune aussi. Je comprends votre point de vue, étant moi-même un ex-zikos chevelu, issu d'un groupe de rock/metal (signé) qui a splitté, ou baissé les bras, c'est selon. La majeure partie de ce que vous écrivez, tous les musiciens métalleux de l'hexagone l'ont ressenti à un moment ou un autre. Ca ne fait pas de mal que quelqu'un le dise haut et fort. Cependant, je n'adhère pas à tout ce que vous dites. Concernant le rap par exemple. Derrière les tonnes de soupe formatée qui tournent en boucle sur les ondes, il en existe du bon. Du très très très bon même. A vrai dire, les rappeurs (les vrais) pourraient tout à fait écrire le même genre de "pamphlet" Le problème ne vient pas du public en france, mais plutot des D.A. qui pensent savoir mieux que les autres, ce que Monsieur et Madame Tout-le-monde veulent se mettre dans les oreilles. C'est triste. Je crois qu'au fond, il faut admettre que la musique, ce n'est pas si grave. Quand on a "sacrifié" toute son existence à faire du son, c'est difficile à admettre, mais... Je vous remercie pour le partage. J'ai pris plaisir à vous lire, un peu comme une private joke de 80 pages. Bonne continuation et gaffe aux acouphènes ! Stay rock !
Publié le 27 Mars 2018

@Lespaulman
Bonjour, je viens de lire tes critiques, rien à redire sur le fait que tu n'apprécies pas ce qui est ton droit. Par contre tu n'as pas du lire jusqu'à la fin car musicien frustré qui règle des comptes pas du tout. Je n'ai juste décrit que la réalité ça te déplait peut être pour des raisons personnelles mais aucune frustration de ma part. Encore une fois tout est véridique.
Pour ce qui est des bios de KEITH RICHARDS et Gene SIMMONS je suis complètement d'accord même si je ne vois pas le rapport avec mon bouquin , d'ailleurs je pourrais rajouter ''Sur la ligne blanche '' la bio de LEMMY ainsi que "The dirt" concernant MOTLEY CRUE.

Publié le 20 Février 2018

Je suis venu en curieux, n’y connaissant rien. Je n’ai pas entendu de hard rock, mais ai lu quelqu’un qui donnait envie d’en entendre... pour voir ! Je me branche sur youtube !

Publié le 15 Février 2018

Lespaulman
Un musicien frustré, probablement... Je vous invite plutôt, si vous voulez prendre du plaisir à la lecture dans ce domaine, à lire la bio de Keith Richards, ou bien celle de Gene Simmons (un pur régal pour les 2), bref de personnes qui savent de quoi ils parlent...

Publié le 15 Février 2018
0.6
Aucun intérêt, quand on s'intéresse un minimum au Rock n Roll, on apprend strictement rien là dedans, on sent rapidement que le mec ne fait que régler ses comptes à travers ses écrits, et puis cette mythomanie et cette parano, c'est carrément impressionnant quoi...
Publié le 15 Février 2018

@TIT'S Ah la France et son exception culturelle! J'ai eu plaisir à te lire. Félicitations pour ton bouquin et cette vie de rocker que tu nous racontes avec une totale franchise, liberté et humour. Je me suis plusieurs fois posé les mêmes questions sur la situation du rock en France. Ce n'est pas seulement valable pour le hard et tous ses dérivés, mais aussi pour le rock, le blues-rock, le prog... Question de culture, de médias, de mentalité, de langue. Il y a un phénomène de résistance en France sur l'influence anglo-saxonne et mondiale (cinéma, par exemple). Je me suis dit que dans ce pays, le rock manquait, certes, de locomotive, mais je crois qu'en France, on a aussi foutu dans la tête d'une nouvelle génération qu'il fallait tirer un trait sur le passé et inventer un nouveau mouvement, quelque chose qui lui donne la sensation d'exister. On s'est servi de la musique comme facteur d'évolution sociale (j'ai l'impression que c'est idem aux States). Maintenant, on veut du boum boum avec des basses qui fendent les murs ou d'une mélodie nunuche entendue 100 fois, pas d'une compo bien chiadée et originale. La musique est davantage dédiée au corps qu'au cerveau, davantage passive qu'active. On consomme, on n'écoute pas. Ca permet de rentabiliser à moindre frais. Et puis la France a toujours eu la bougeotte : variétoche, disco, funk, Trust (eh oui avec les trust marqué sur les sacs US!), new wave, hip hop, rap... En comparaison, j'ai l'impression que l'Angleterre (et les anglo-saxons?) est beaucoup plus traditionaliste et respectueuse de l'histoire de la musique, ce qui ne l'empêche pas de rester à l'avant-garde. Les Etats-Unis ont une culture blues et jazz beaucoup plus marquée que la nôtre. Tout cela a des conséquences, des influences. Les anglo-saxons sont par ailleurs beaucoup plus ouverts sur le monde, moins frileux, leurs maisons de disques ne ciblent pas le marché local mais le monde entier. Evidemment, ça aide quand on parle la même langue, la langue internationale. Je pense que la France a une vision beaucoup plus petite et "consanguine" du marché. Qui irait écouter des paroles françaises? Maintenant, les anglais pourraient dire "pourquoi on mange si mal chez nous?". Bref, tout ceci n'est que mon humble avis. L'important est que chacun y trouve son compte et l'avantage avec la bonne musique, c'est qu'elle ne meurt jamais et ne connait pas de frontières. Je te souhaite d'avoir toujours la pêche, d'être toujours aussi passionné et de prendre du plaisir.

Publié le 26 Janvier 2018