Ce que la vie doit à la mort (2)

J’ai trouvé que c’était dommage avec un tel titre de n’avoir pas poussé un peu l’exercice. Ce que je veux dire, c’est qu’en lisant une "nouvelle", on sait que le scoop, ça va être la chute. La première votre, par exemple, est volontairement totalement lisse, parfaite, et vous avez gardé un éloignement de vos personnages pour qu’on n’en voit que l’enveloppe, qu’on ne s’y attache pas. La chute ne peut être que l’exact opposé que ce que l’on lit. Et vu le titre, on devine sans trop de difficulté. Pareil, dans la seconde partie, la chute ne peut être que faite pour nous surprendre. Et comme on se demande comment il s’en est échappé… Bref, beau sujet, beau concept, qui aurait pu être à mon goût un peu moins lisse. Mais sans oublier de vous remercier d’avoir voulu partager ces histoires.