Dans son synopsis, Victor Simon dit que son roman est un "feel good". il a raison !
Jeune, Hugo avait formé un groupe de rock avec 3 copains. Aujourd’hui à 55 ans, Hugo est banquier et atteint d'une leucémie. Les perspectives sont mauvaises. Le médecin évoque de rares cas de rémissions.
Pour Victor Simon, l'écriture est à la fois un plaisir et un besoin.
J'ai aimé lire l'histoire d'Hugo, quinquagénaire à la vie lisse, policée, bien rodée. Une vie réussie, diraient la plupart d'entre nous. Réussite sociale, couple en harmonie, enfants de plusieurs lits sans plus ni moins de problèmes que ceux des enfants de leur âge... Rien qui dépasse. Ni heureux, ni malheureux. Il faudrait inventer une épithète pour qualifier cet état intermédiaire que nous sommes nombreux à vivre, de nos jours. Un état en demi-teintes, en surface, procrastinateur du bonheur. Un état fragile qui vole en éclat. Pour la forme, votre plume est soignée, agréable à lire.
Bel ouvrage. Il y a longtemps que je n'avais pas été autant imprégné par un livre au point de le lire en si peu de temps. Je me suis senti habité comme si j'étais un de ces personnages. C'est troublant quoi quand même, n'est-il pas ?
C’est sympa cette idée des 30 ans après. Je ne connaissais pas la valeur thérapeutique, mais l’idée est originale. Et votre récit très bien fait. Vous le menez (et nous menez) très bien ! C’est vif et fluide. Et puis, on veut savoir. Et le chemin d’Hugo, la progression de ce qu’il vit, est sensible. C’est ce qui m’a touché le plus, l’émotion que vous avez mise dans ce récit.
C’est pour cela qu’il l’a publié gratuitement sur monBestSeller.