Des trentenaires débattent (dans le désordre et avec humour) de sex-toys, d’orgasme, de féminisme, de maternité, de sexisme… et de connexions amicales et amoureuses.
Un roman choral où des trentenaires débattent sex-toys, orgasme, féminisme, maternité, plans Q, clubs échangistes, prostitution, viols, sexisme....
Tentative pour repositionner l'amour au centre, quand les applications le déstructurent. Immersion dans la schizophrénie,.
Médecin radiologue, Camille Descimes est spécialiste des maladies de la femme. Passionnée de littérature, de philo, d’histoire. Amoureuse de la montagne, d'alpinisme, d'escalade, de canyoning, ou de virées en mer sous spi. Toujours en quête d'horizons nouveaux, d'adrénaline.
Je trouve votre livre admirablement maîtrisé, dans sa construction comme dans son écriture, avec un gros coup de cœur sur la prescription de la page 193, à mourir de rire ! Un énorme bravo
Merci pour ce roman empli de personnages fouillés et attachants, que l'on retrouve au fil de vos pages. Vous parlez du féminisme avec des mots justes.
Brillant, vif, intelligent, admirablement écrit, parfois tombant dans le piège d'une chronique de magazine, mais se rattrapant vite avec un art littéraire qui vous classe, me semble-t-il, comme une écrivaine.
C’est pour cela qu’il le publie gratuitement sur monBestSeller.
Merci Camille pour ce beau livre: véritable kaléidoscope:
on se retrouve dans tant d'univers différents:
Virginie dépentes avec ton le coté trash , réaliste et tes descriptions et reflexions sur la sexualité...assumée
Les petits mouchoirs : pour ces histoires de trentenaires en recherche du grand amour avec une fin si tragique
Umberto Ecco avec ces extraits d'aphorismes, de fragments littéraires en début de tous tes chapitres...
On navigue entre un essai expliquant ce qu'est l'amour physique et sentimentale en ce début du XXIème siècle
ce qu'est la vie, ce qu'elle permet de vivre ou non
que tout peut s'arrêter aussi soudainement que c'est arrivé!
Tout en décrivant par le menu les joies et peines de tous ces etres qui nous ressemblent!
Tu décris avec simplicité et rigueur les tourments et les peurs qui sont à l'oeuvre chez les femmes et les hommes; à se demander si tu n'est pas trans genre :):)
Je note que Nietsche et Spinozza sont tes plus belles références alors que sartre est quelque peu malmené!
Je te rejoins sur ces analyses notamment sur la façon de polir qu'avait adoptée Spinoza :)
Pour autant quand on compare la vie qu'on eue ces trois là, on doit faire un constat différent
certes les théories sont belles et attrayantes chez ces deux premiers en revanche leur vie sexuelle fut plus que médiocre en comparaison de la vie d'existentialiste qu'a menée Sartre
Le seul reproche que je ferai tiens plus à ta façon d'abuser de formules trash ou grossières alors que tu as une grande richesse lexicale ( ultracrépidarianisme voila un beau mot!)
encore merci pour ce moment :):):)
Bonjour
Génial voila quelque chose qui me parle bien à découvrir.
Belle journée!